Bref 8 le feuilleton du point (virgule) du jour

Sur LCI une émission dite d’information rapidement transformée en table ovale pour soutenir Macron notre « nourrisson », qui prétend lui avec Baïrou, comme chacun sait un rassembleur-né, regrouper avec des recettes soyeuses, charmeuses excluant toute allusion à des contraintes qui pourtant seront obligées, et s’accompagne de quelques caméléons politiques dont un conseiller municipal de Neuilly inconnu et qui ne veut plus l’être, une sénatrice socialiste commune prolixe y-z, en simili Chanel d’avant, le barbu de gauche de service et Arlette Chabot, tr ancienne routière du microcosme politicien… tous  gommant le fait patent qu’un nouveau Président élu  de justesse ou pas, devra s’appuyer sur des députés venus de toutes les, comme on dit, sensibilités, on dirait vilenies ! qu’un bruit de billets-valises  accompagne certains … Or le candidat à la fois prodigue et beau masque des beaux quartiers et des banlieues « crades » 1 devenu, si l’on en croit ses supporteurs réglera tout et le reste, dans la gentillesse, la compréhension, la main tendue (avec une inévitable sébile), tous nos problèmes internes… Répétons-le dont l’essentiel est décidé, gouverné à l’extérieur, de notre France, souvent de l’Europe, les plus contraignants autant que discutables planétaires ! De toute façon, imaginez-les  un court instant, lectrices, lecteurs attentifs, presque tous dont notre « nourrisson » en pèlerinages, prières et invocations devant Merkel donc l’Europe euro, Poutine, le Président chinois bientôt réélu, et Trump plutôt aguicheurs vers Marine ? Vous semblent-ils objectivement… crédibles ?

Macron fait du Chirac en moins viril, moins vrai, il goutte à goutte instille un faisceau de bonnes intentions dont le financement est plus qu’aléatoire, même si des groupes internationaux et leurs représentants en notre pays seraient ses ressources, dit-on, auxquels viennent s’ajouter des retraités du socialisme  et d’actuels ministres de Hollande : Delanoé, Le Drian et autres quittant le paquebot devenu de croisière, en perdition à qqes encablures du port d’attache, Dieu et ses prophètes les entendent, à défaut de les écouter…

Après le clash Fillon,  imprudence consentie, voire effets rétro d’un « gouvernement des juges », comme dit Guaino, ancien rebelle, qu’on aime bien et qui « pierrelavalise » c dur à porter, le programme élu des Républicains, Fillon dont on loue ici la ténacité, la volonté politique de vaincre dont bien des élus et journalistes savaient la situation comme bien d’autres … comment dire cellules politiques familiales, elles non inquiétées, schisme déclenché paraît-il par Bercy, que venait de quitter le candidat d’abord du socialisme bobo… Il semblerait que l’opération « Nourrisson » fut mitonnée par de grands financiers socialistes,  eh oui y en a et pas des moindres, décidés à ne pas s’éloigner du Pouvoir, et qui après l’épisode hollandais-moulin à vent contraire aient trouvé puis décrété, que cet homme énarque affirmé, bourgeois admis du cénacle  : c important : décisif ! garant de confiances apportées pouvait porter un projet… anesthésiant juste ce qu’il faut, soigneusement sélectionné, et indispensable :  assurer son statut d’homme providentiel, au sens religieux du terme. Et rassembleur des déçus de certains bords engagés, des poltrons des résultats législatifs à venir et surtout devenir, devant une Droite disqualifiée un temps, par des Médias : le meilleur et la pire des choses… Là, le lâchage public  du Sarthois élu primaire et sa pénelope compatible, espéré, voulu même, n’eut pas lieu. L’autre débutant devenu sans taches, tellement fréquentable, quoique ministre de l’Economie en poste chez Valls devienne… dont on attend encore des novations économiques fiables inédites, c’était écrit ! mais n’étant pas encore mouillé sic, dans un des quiproquos canardesques (patientez ça va venir) était alors le gendre idéal pour épouser bien sûr une France vieillarde (ah ! bon! ça vient de sortir ?)  débarrassé au second tour du manège présidentiel, de Marine et ses gars de la … au plafond des intentions premières.

Notons que le FN  sera en tête, vers 30%, au premier tour mais  n’aurait que peu d’autres voix au second tour, ou pas assez, pour concrétiser cet effroi médiatique, l’agacement allemand donc européen, les quolibets de Trump, coquetèle savant, restant totalement fabriqué afin de pousser au vote massif pour le « nourrisson » devenu, il grandit ! premier communiant si soigné, si aimable pour balayer Mame Le Pen au tour final.

Oui évidemment. Et si les durs du parti Républicains, d’abord leurs électeurs lésés, exaspérés par cette non-alternance annoncée se reportaient, ne serait-ce que pour voir, sur Fifille ? Oui, le Dab… Eh ! on ne sait jamais.

1 crades : du vocabulaire populaire qui signifie ici dépenaillés et  laissés-pour-compte donc infréquentables pour les  proches des beaux quartiers.

Flotte dans l’air parisien si pollué, un autre bouteillon : ce méli-mélo des Gauches dites incompatibles : Jean-Lusque qu’on essaie de rendre… benoît, serait en fait tr organisé afin qu’en fin de comptes (au fait, faudra bien les rendre) mettant d’accord les trublions de toutes confessions avouées, le pompier accourant à scouteur Hollande deviendrait le recours suprême, et hors listes ? se re-présenterait ! Dinguerie flanby ?

Candisesenior vous salue toutes et tous gaullistement, s’attend à encore des rumeurs visqueuses, tel tailler… de nouveaux costumes à Fillon, des potins de conciergeries sans commère, des humeurs orientées prêtées au Parquet, l’éventail souffleteur de volte-face de choix… dans le dos de certains candidats, émaillant ce clochemerle-clochepies pré-électoral qui horrifie ou  dont se  gargarise les voisins anglo-saxons, des cousins euros certains navrés, incrédules, excédés, ou ironiques.

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