Remonta da…mnée ? NB à… XV !

Comment expliquer, même si le doute effleurait les esprits sur un point crucial : le glorieux, la prima donna, l’invincible, le mondial, la gloire catalane et ibérique, le prestigieux Barça, pourtant fin de règne, ne pouvait pas perdre, à ce moment, à ce niveau… On évoquait l’arbitrage qui fut presque… correct mais fait plutôt à la maison. On avait mésestimé la fragilité mentale du groupe PSG, on ignorait que le bon Emery coatchait si mal en moments décisifs, qu’en fait ne maîtrisait que peu son équipe en des moments-clés. Or on opposa un verrou fragile, mal fermé, révélateur des craintes et insuffisances alors qu’il fallait après le but de Cavani, certes obturer léger mais avec un jeune qui n’avait peur de rien et relanceur émérite, tel Kitpembé, ce qu’on smça à un ami ! et non un Aurier en méforme, fouillasou. Quant à Krisko jamais au point, pris dans la tourmente et inutile, il exigeait alors un Maxwell, tr expérimenté en petits périmètres défensifs, surtout un Pastore, vigile orienteur du ballon, capable d’achever la bête alors à 3-1, ce qui fut oublié. Voire coup de poker, un Aréola se réhabilitant !  De là à comme B. Roger-Petit à jouer les Fouquier-Tinville, voire et revoir un Zola, accusateur de salon bobo, en carbonisant  le PSG de  verbosité, entachée « d’excessivitudes ». Il y a eu fautes professionnelles du coach et des joueurs, mentalement ! Passons sur l’escapade révélatrice dit-on de folle décontraction, de deux atouts-maître, et qui hélas ! ne le furent pas !

Le monument parisien était fragile mentalement, sans chef, son architecte réhabilitateur défaillant. Tout doit être reconstruit : gardien-défense. Demis offensifs et stabilisateurs- arrières-ailiers, un vrai chef vestiaire et terrain, ranimant, exaltant ses partenaires, une doublure tr conséquente à Cavani, et un entraîneur digne de ce nom, à hauteur des Championnat et Coupes diverses locales, ça y a, et d’abord et surtout  de la Champions League pour a minima, une demi-finale 18 ! Quant à la Présidence, c le problème des investisseurs surtout avec enfin un Directeur sportif grand pro, digne du titre de la fonction, et important pas trop proche de ces agents de joueurs beaucoup trop, bien trop influents  !

Candidesenior a le crampon honteux, ébréché et n’ose l’élever pour vous saluer toutes et tous, reste encore sur ce clash monstrueux, indigeste, ces tirages au sort qui ciblent tr souvent les, le même. Croit au retour d’une équipe dont le nom, le palmarès, les vrais supporters  méritent bien mieux que ce qu’on leur offre, pour réaliser des ambitions  si naturelles. L’actuel Président tr mal conseillé, fut trop proche de certains joueurs, accentuant cette impression devenue réalité, que tout le monde, or finalement personne ne commandait ni en haut, ni en bas, et encore moins gravissime, sur le terrain !

On suppose au moins… le retour plus qu’attendu et cette fois réel de Neymar Jr. Tout s’achète, faut y mettre le prix, arrêtons les : il est intransférable. PSG alors dégraissera son effectif si hétéroclite !

NB.- Remise en crampons dure pour un PSG avec un Aurier bambin : « Je joue pas ?  Ben je serai pas en tenue, Na ! Pire, si on m’appelle, ben… je la mettrai, au ralenti ». Tête du jeune Portugais stupéfait,  tout à côté, durant ces simagrées. Les enfantillages de ce présidentiel protégé ? Ailleurs.

Rico de la Plata de L’EquipeduSoir, Eric Blanc, ruugebyman titré, converti au fout barça: saluez ! Pour vous servir : une poêlée  d’Audiard,  le Dab, marinée Nogent, Racingman (au noeud pap’ festif) de toujours sera triste : fusion probable des deux clubs centenaires parisiens, obligés résultats en berne, entraîneurs dépassés, joueurs las, investisseurs aussi, donc on suppose Image : maillot dans la verticalité, moitié rayures bleu clair s fonds blanc, l’autre moitié bleu-rouge sur fonds rose ? Resterait à trouver le coach de haut niveau prouvé, faisant se bouger toute la saison le Q de son effectif, revu et corrigé. Le précédent quinze-vingt trois ne fut que ténors furtifs réduits à la basse, aux fin fonds de classement, avec enfin un projet de jeu, et vital comme la carte, de jeunes joueurs français majoritaires, encadrés par des anciens costauds, au mental d’acier, eh ! les stars plus tard ! Les guidant plus par le métier, la ruse que par l’explosivité, réservée aux jeunes pousses. S’épargnant (?) le duel des ego présidentiels, chacun  la motte, présidant une année sur deux. Oui facile à écrire, quoique… mais moins aisé à mettre vraiment en place  !

Tous mercredi, foule !  à soutenir Monac’ car ne sera pas de la tarte, City frétille.

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