« Le clan des brésiliens » NB.-

On sait notre admiration pour ce foot et ses joueurs et notre obstination à réclamer Neymar au PSG et sans qu’elle faiblisse subodorer que le clanique ne saurait se substituer aux intérêts du club francilien car lors de la rencontre contre Montpellier l’absence du prodige à peser lourd avec un terrain innommable, intolérable en notreligue qui se veut internationale voire mondiale, sans que la Ligue professionnelle n’intervienne ou sévisse en exigeant un gazon digne de ce nom alors que déjà se pose c clair la présence- on suppose l’indignation, les malaises cardiaques de certains présidents-notables  de quelques clubs, qui n’ont ni l’effectif ni la surface financière pour figurer footballistiquement en un championnat se devant d’être diffusé dans le monde télévisuel euro- planétaire, s’il entend vivre et  survivre !

Ordoncque on sentit nos brillants cariocas peu ou pas assez concernés par ce match à rideaux fermés….alors baisse passagère de forme, peur de blessures avant d’affronter le Bayern mercredi, ou laisser croire qu’en l’absence du jeune « patron »du club, il  n’est plus le même, que la dépendance ney  mar de son absence ? En tout cas cette mollesse, cette entrée négative du pote Lucas n’arrangea rien et deux points perdus tombèrent d l’escarcelle monégasque avec un Meunier diminué et l’alter ego Nbap, lui aussi cheville touchée.

Notre basque d’étoile Emery gesticula moins et pourtant sur les pointes, auteur d’une touche remarquable de vivacité, avait l’air de ne pas avoir l’air, accompagnant les dernières attaques molles de Dani, poseur diplômé de ballons penalty, de gestes  pour la galerie tandis que  les joueurs psgistes dribblant le vide, bousculés étaient  privés d’un penalty indiscutable.

Evidemment beaucoup fut fait par l’équipe adverse, défendant bec et crampons levés, solidaire jusqu’au coup de sifflet final… Bravo, et on attend sa prestation prochaine contre Monaco, qu’en toute justice sportive, on devrait revoir aussi vaillante, déterminée, solidaire qu’elle le fut contre ces Parigots, comme dit chez nous, « têtes de veaux »…

Contre le Bayern ni même partition ni même musique car il s’agit là de prestige entre un des Grands et un… parvenu, murmurent et caricaturent de Grands espagnols, anglais et germains, eux plus discrets, en matière de gamineries transferts et autres touiteries voulues assassines, ou qui  se prétendaient telles, alors qu’elles ne transpiraient que l’anecdotique, des Eminences régnant sur l’Europe du ballon plastique, certains aussi du hélas défunt ballon cuir…

Attendons ces prochains matches avec selon nous, si Neymar a bien compris les vrais ingrédients pour un futur et possible… Ballon d’or et déjà, les penalty par Cavani et les coups francs par Neymar, voire Dani ou Di Maria,  selon que le jeu, les enjeux, la forme, là Emery sait qui s’entraîne régulièrement en la matière, avec un appel pressant  aux tirs de loin des deux demis, trop pauvres ou avares en ce domaine, si peu exploité contre l’auto-quarts, pardon le bus défensif, a contrario de nos bons cousins germains.

Candidesenior vous salue toutes et tous crampons moulés France.

Bien  meilleure santé à Nanard … à force de la faire à l’estomac, raillent certains ! Non… c trop con cette saloperie ! Personne n’est à l’abri. Et après ce tourment judiciairo-politique interminable et continu, selon la couleur fric des gouvernements successifs, des, de l’affaire con…cernant Adidas et les finances et redevances qui en découlaient… Le stress constant n’arrange jamais rien,

 

NB.- Oublié le calvaire lillois ! Simplifions : notre Argentin argenté n’a pas l’effectif capable d’appliquer sur le terrain un jeu de tableau très léché, à ce point que la craie sur le tableau devient peu lisible. Là aussi attendons des renforts valables mais l’acteur financier principal Lopez et ce fonds d’investissement depuis l’épisode de F1 Lotus laisse perplexe… On veut s’inspirer du schéma si productif monégasque : jeunes joueurs doués, formatés en une deux années pour devenir vendables à millions bénéfiques, or ils n’ont pas un manager aussi connaisseur du jeune foot européen  et brésilien, prolifique et éducateur complet de terrain, mental inclus, que le coach portugais de Monaco… C là toute la question ! Foot, peut-être ? Profits ? Difficiles à croire !

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