Comme attendu après les éruptions convulsives des dirigeants barcelonais, soutenus en douce ? par le club tr fermé des Grands du foot avec les deux majeurs hispaniques, et les têtes de gondoles britanniques, sans oublier les deux kaisers de la Bundes horrifiés, dérangés, révulsés par cette intrusion d’un vulgus français ce PSG, qui n a rien gagné et peut lui aussi horreur et damnation ! se payer c le mot, les stars qu’il veut, quand il veut ce que murmurent les sommités de ces nantis est inconcevable cette présence … tr financière, eux souvent adeptes sinon agents d’un capitalisme sauvage…. attention artung ! mais entre membres acceptés de ce cercle des gagnants de cette Coupe européenne, qu’on se partageait plus qu’on ne la disputait, persiflent d’aucuns ! C exagéré ? A vous d’apprécier.
Et en cette dispute pl ou moins larvée surgit la FIFA dont ses dirigeants doivent leurs élections et fonds, d’abord à ces grands clubs européens et leurs dirigeants, en notant que le fair play financier fut demandé, puis institué par des notables du Bayern qui avaient senti le vent du changement fouetter leurs mollets d’ex-internationaux germaniques, et voulu alors modérer les ambitions du club parisien, sans toutefois qu’on mesure de trop près les leurs, ou ceux d’alliés puisque rappelons l’acquisition par le Barça de Neymar au Brésil et Suarez ne sembla soulever alors aucun problème de nature financière pour les dirigeants de cette FIFA, dont on s’interroge un soupçon, sur l’impartialité en cette affaire. Même si elle ne vise pour l’instant qu’une affaire de droits télévisuels discutés avec un secrétaire général, banni depuis de cette organisation. Elle depuis des lustres, proche pour ne pas dire plus, de ce « club » huppé des grands gagnants de la Coupe aux grdes zoneilles, dérangés par ce petit-grand nouveau qui osait leur disputer leurs stars, et qu’on allait voir ce qu’on allait voir, après cet « kidnapping » du jeune Brésilien par ce PSG qui selon notamment des pontes munichois, devrait d’abord se faire admettre par ce nouveau Jockey-Club, en demandant la permission aux Catalans, fort et mal occupés ailleurs, de leur… emprunter le si talentueux carioca.
Bien entendu sans « sono tonne », premier round, l’image si sensible aux Qataris du club est provisoirement écornée, de là à prévoir une réaction violente et perversement souhaitée de l’Emir Tamina Ben Hamad Al Thani, il y a la distance de l’information vraie vérifiée sur ce dossier ainsi que comment dire ? les moeurs qui accompagnent ces enchères. le Président Nasser proteste calmement, est parti s’expliquer devant son supérieur, et se justifiera de nouveau sereinement, sans aucun doute accompagné par des professionnels choisis soigneusement pour une contre-enquête afin d’éclaircir des circonstances souvent floues, voire rocambolesques qui président à ces attributions, très suivies par des sites parieurs tr intéressés, par ces discussions et attributions, quelquefois … étonnantes, souvent tout simplement convenues !
On savait certains rivaux footeux latins, la tête près du bonnet …mais n’ont-ils pas eu la tête tr grande pour coiffer un bonnet vengeur plus serré, qu’ils ne l’envisageaient ? Même si en parler en continu, c déjà aujourd’hui médiatiquement, mettre en situation d’accusé ?
La vérité recherchée mise au grand jour risque peut-être de « surprendre » les plus actifs, les plus conservateurs dévoilant des pratiques…occultes, connues des initiés quelque fois, que les fortunes étalées médiatiquement pour acquérir ces prodiges ne justifient pas toujours ! Notons que Man City, sponsorisé par les Emirats, ne fut jamais, ou si peu inquiété, sur des acquisitions de joueurs dont certaines… interrogeaient la vigilance, devenue sélective, semble-t-il ? de la FIFA, si vigilante mais avec retard sur certains de ses cadres…
Candidesenior vous salue toutes et tous crampons rangés, sauf pour ce sursaut lyonnais du beau Jeu, et s’attend soit à de nouvelles péripéties (périssent les péties !) soldant une info spécieuse, originellement pour nuire, faire douter, plus que preuves incontestables, et alors, bonnet d’âne décerné publiquement ou en tapinois? à des auteurs-« véhiculeurs » trop intéressés, ou eux aussi… bernés ?
Dommages ! de toute façon.