Après la défaite choucroute du club parisien, les commentaires pleuvent notamment au et chez le seul journal sportif français où chroniqueuses et chroniqueurs (sans jeu de mots intempestif, cartonnerait Mémé) se renvoient la balle… En fait, vers la cible Emery car on ne fait que murmurer que le boss du club, ce jeune Emir (ce qui signifie chez eux, prince des princes) vit sa vie qui est loin d’être mentalement paisible, en ce qui concerne son club car son entourage géographique : les Emirats, le gr frère saoudien et les autres monarques du coin… Ben c un petit village de commérages, compliments et médisances, certes entre …hommes mais on se gausse vite des échecs de certains, on se réjouit des succès d’autres : Manchester City, propriété d’un des Emirats, dont le Cheik Makoum, engrange les succès, plus les hippiques déjà, car au niveau foot, fut mieux agencé : joueurs, managers au départ, que son concurrent direct, et la défaite passée de Paris par City, coûta son poste au précédent entraîneur… Or s’ajoutant la fameuse,douteuse et douloureuse remontada barcelonaise tintanibullant désagréablement aux zoneilles du prince Thani, et Nasser, un ami d’enfance, dut venir s’expliquer car des cours et palais émiratis exprimaient de peu élogieuses considérations sur un résultat encore incompréhensible… Enfin presque.
On sait que le nouveau joyau parisien fut serti par Leonardo, qui ne fut jamais et encore moins après 98, un fan de la France, et qui bricola une mouture brésilo-milanaise potable avec un Zlatan et son « pays de… » en guise de perle, alors qu’il fut souvent un collier, ramenant tout à ses crocs, pour ne pas dire sa gueule, et toujours resté muet en Champion’s League, donc une Formule 1 sans vrai bon pilote.
On refit brutalement le ménage, et le nouveau PSG, avec en tête, l’incontestable meilleur joueur du monde à son âge, et fixa, une demi-finale 2017 mini au niveau Europe, avec une équipe mieux conforme aux ambitions du propriétaire, et refus absolu de toute autre défaite contre ce City émirati, à quelque niveau qu’il fût !
L’épisode « choucroute » n’a fait que sourirent les rivaux du Golfe mais seulement… Par contre, si avec le Bayern un mauvais résult’ était affirmé, Nasser qui a bon dos, ne pourrait rien pour un entraîneur imposé par lui …
Nos commentatrices et teurs n’imaginent nullement l’ambiance, que ce modèle parisiano-qatari et à quel point, est la cible des remarques des voisins du Golfe, et on y observe alors la moindre ani (désolé pour l’alcool)chroche qui est commentée dans tous ces palais et reviennent en rafales, (au fait où en est-on ?)chez son Excellence coranique l’Emir, qui ne goûte guère ce genre de propos acerbes… Si on ose dire.
Le Président Al Haifi a été souvent très avisé et prudent mais il ne dispose que de.. l’argent, pas des hommes qui eux font le match. Pour le reste, il aurait zappé ce courtisanat… oriental de relations privilégiées avec quelques unes de ses stars foot, et donc remis de l’ordre là où il en faut beaucoup !
Donc Doha, capitale du vrai taulier, ne dort que d’un oeil qui n’est pas celui de Chimène, ni de chimères, mais s’efforce de croire à la pérennité de ses généreux investissements…tr généraux mais veille à ce que son PSG soit l’objet d’envies, pas des sarcasmes et quolibets de voisins, une communauté aux aguets ! Oui on sait.. Carton jaune.
Candidesenior vous salue bien toutes et tous, et suit d’un oeil attentif les aléas d’une chronique sportive et politique qui ne défraie depuis rien, même pas disent des journaleux, tous nos de frais de déplacements ! Ah être joueur sur-courtisé et attendre la manne…mais aussi messieurs les résultats qui vont avec !
Un regret qui dure : Payet. On aime vraiment nos Réunionnais mais souvent, chez eux, laissent apparaître par moments, une nonchalance îlienne naturelle… que le Sport de haut niveau interdit. Là alors le mental se fissure et qu’il doit vite rehausser car c un joueur de grand talent, dépendant de sa condition physique. Morphologiquement plus que d’autres. Samson qui joue depuis à un poste qui n’est pas le sien, et en plus, ils s’amassent à trois au centre, eh ! pour pêcher la Sardine ? Là où devrait être seul, le distributeur du jeu : Payet à son poids de forme, grâce… euh excuse ! mais par, à son tour, cet investissement personnel que son talent, nous doit. Surtout pour cette Coupe du Monde, qu’il veut, dit-il, disputer, une dernière fois ?