Beaucoup avaient des craintes sur ce match clé où le royal Real jouait très, peut être trop gros…
Le choix d’un arbitre, qui arbitra comme on dit, à la maison, ne sifflant pas où il le fallait et sanctionnant où il ne fallait pas. Comme déjà dit le Real ne pouvait, ne devait pas perdre ! Les faits de jeu s’additionnèrent : multi-tacles limites sur Neymar Jr et d’ autres équipiers, penalty sifflable ou pas ? hors-jeu MBapé pl que limite, cartons surtout parisiens, et enfin faillite d’Emery, la toucht’ du coach, les familiers du bon LaFontaine apprécieront… qui sort Cavani, surtout privé de ballons, un seul semble-t-il, en première mi-temps par les autres avants dont Neymar Jr et là notre perle cariocas a fourni un match très décevant. Un de nos chroniqueurs favoris, suite aux rumeurs pronostiquant son attirance nouvelle pour le club madrilène, avait noté, en remarquant qu’il serai jaugé sur sa prestation. Yes Sir : on a vu. A chacun d’en tirer opinions à laquelle nous ajoutons, nos plus plates excuses à Dani, auteur d’un bon match, et nous auteurs alors d’un mauvais jeu de mots.
Les joueurs castillans hier étaient, avis général, plus que prenables, un PSG jouant vraiment collectif aurait dû concrétiser un bon nombre d’occazes mais le trio magique resta muet, faute de ne penser qu’à sa seule présence ( à sa gueule) accompagnés d’ entrechats stériles mais matraqués, sans oublier un Lo Celso complètement dépassé, jonglant en zone dangereuse ? bref une équipe qui aurait dû marquer mais déjà rendue fébrile… Voyez un excellent Aréola, sauvant trois frappes mais à qui l’entraîneur des gardiens n’ a pas appris à bloquer et tenir le ballon plutôt que toujours le repousser, au risque de pieds, voire genou contreurs de l’adversaire, et crac boum, hue : deuxième but assassin !
Oui tr grosse déception car cette rencontre devait être largement gagnée, et n’ajoutons pas ces changements saugrenus, pis encore, révélateurs de la peur de l’adversaire et désorganisateurs, alors qu’on avait un Di Maria en forme, passeur et butteur , connaissant bien ce Real. Ensuite la chance se prit à sourire pour ceux qui en voulaient le plus, et exploitant ces erreurs élémentaires, mon cher Watson, pour s’assurer avant le round final au Parc,une qualification à laquelle nous spectateurs nous ne nous attendions guère pour les Parigots car on avaient ciblé ces facteurs rédhibitoires aux postes décisifs, nos 3 et 6.
Match retour vite, espérant un arbitre neutre et une équipe reconstituée émotionnellement, faites autant pour marquer que pour défendre, quitte à laisser d’entrée sur le banc le meilleur enfin l’un des meilleurs joueurs du monde, et en sentinelle Motta ou Lass. Surtout la rage au coeur, privés d’une victoire « manipulée « offerte aux Méringués à la rue que dire à l’avenue ! en Liga, et qui n’en demandaient peut-être pas tant.
A noter que Benzema n’a toujours pas sa place sportivement en équipe de France, et qu’il faudra un « peuple » PSG derrière son équipe, sans excès ni provocations mais soutenant les Parisiens de la première à la dernière minute !
Pour notre Basque rebondissant sympa mais que de niveau Europa, dans une multinationale, il était viré le soir même… Dans tout le Moyen-Orient ça bruissait fort, jusqu’aux oreilles de l’Emir !