400 millions

Le feuilleton Neymar continue malgré un premier prix, pas d’excellence, pour ses prestations de… 222 millions nullement justifiés, notamment contre un Real du deuxième tonneau et un certain Neymar Senior (le glouton dit-on) entendrait ? soutirer encore  bon nombre de millions, exploitant… pourquoi pas ! la férocité jalouse… en foot ! de nos chers ô combien ! cousins ibériques n’admettant pas qu’on puisse contester moindre supériorité sur le terrain… de leurs grands clubs, vouloir les meilleurs joueurs, oyez le Barça devenu  stockeur de stars, une suprématie footbalistique  certes qui fut mais qui commence à dater.

On n’accablera guère l’entraîneur basque l’étoile Emery, en recherche de courroies de transmission et qui réclamant, grattant un no  6  mondial un latéral gauche-droit ne fut pas entendu… puisque notre bon Dani exposait ses limites surtout physiques, et à qui une vraie  sentinelle fît défaut, tout en pensant nous, que Lass l’ancien eût moins failli, puisque le jeune Rabiot, le mal-nommé ce jour-là pour le boulot accompli, dévoila ses limites à ce niveau, et que toute l’équipe oublia, sauf en discours enflammés  : intensité, jeu collectif, complémentarités et… grinta, volonté de gagner,  accompagnés par l’imbécillité crasse de flumigènes enfin identifiés, et dont ce onze à la peine n’avait vraiment pas besoin.

On ne fait que s’interroger sur cette blessure-prétexte ? du prodige brésilien jamais jusqu’alors éclaircie : simple fait de jeu ? sur l’extinction  stupéfiante du jeune et flamboyant Mbappé… effet miroir du clash neymaresque et surtout bourrasque médiatique activée par ces agents… qu’on n’est pas obligés de suivre, et dont on mesure l’influence, et qui nous fourguent trop plus qu’ils nous vendent, des prodiges à  la pelle…et qui eux ensuite piochent, et qui tardent à éclore, ou se fanent avant que d’avoir fleuris …

On ne dira rien d’un Président bon tenissman mais qui, irremplaçable avait grand besoin d’un directeur sportif mais à poigne non d’un figurant et maîtrisant et agents et médias mais surtout des joueurs, trop vite installés, et trop proches de la direction qui a la fois trop de têtes et n’en a pas assez,  surtout de vrai patron voire bras armé du Président, peut être un  ancien grand joueur qui n’autorise pas tout à ses stars, et qui n’hésite pas à confiner sur le banc, un joueur défaillant, indiscipliné, quel qu’il soit. On imagine mal le candidat ? Conte supportant des voyages incessants à Rio par notre blessé…  au mauvais moment au mauvais endroit.

Nous persistons pour l’ excellent Jardim qui en plus parle la langue du clan des Brésiliens, y en aura toujours quelques uns, et a fait des miracles avec des revenants ou des jeunes talentueux, si un directeur sportif digne de ce nom sait épauler entraineur, recruteurs et Président qui alors tranche vite et sans recours, en cas de rares désaccords persistants …

Donc refonte totale de l’effectif  et choix après la Coupe du Monde avant liquidation des surplus de joueurs dont certains n’ont pas youé ( c charieur mais amical ) et si survie  même du clan des Brésiliens n’est alors nullement impérative, et se pose celui des Sud’A dont un Cavani irremplaçable, qui pourrait compter des défenseurs dont cette sentinelle indispensable !

Evidemment on peut poser diagnostics, recommandations, avis cela ne saurait résoudre ces problèmes car se posent des obstacles : ventes aux importants manque-à-gagner, ne pas renforcer des rivaux mais l’essentiel reste de devenir enfin un grand vrai club, organisé, fiable, respecté… ce qu il n’est pas encore, et devienne cette institution : club et formatrice respectée et respectacle, d’abord par ses joueurs, arborant sur maillot écusson drapeaux français et qatari entrecroisés, comme le font nos cousins italiens avec leurs propres couleurs !
Er qu’on nous lâche les crampons avec le niveau de notre championnat, tous les autres européens comme le nôtre ont deux ou trois clubs-phare, les autres sont d’aimables comparses ? mais tr difficiles souvent à vaincre !

Candidesenior vous salue toutes et tous crampons levés, en espérant partout des gazons… jouables et plaidant d’abord pour le simple bon sens, la clarté, la simplification, les modèles à respecter dont soi-même et  un commandement comme militaire : voir loin et commander court et vite, et tous le suivre avec la disparition de ces intermédiaires autoproclamés qui faussent eux aussi l’image du grand club mondial que doit devenir et rester, le PSG ! Tenant compte que les autres  Grands ont des décennies d’existence, de renommée et de trophées et que le  fric-roi n’achète pas tout. Enfin… presque.

Et pourquoi pas car déjà évoqué et boucler vos ceintures … Sarkozy, homme à poigne  et chomdu connu  mondialement, et fin connaisseur du foot, comme general manager ?

Oui on sait… On va dire qu’on  bouste loin une locomotive politique, qu’elle rend borgne mais réfléchissez bien : c l’ homme de l’endroit et du moment !

Précisons que soutien fidèle mais privé, libre de nos choix nous, nous ne l’avons jamais croisé ou rencontré, que se soit lorsqu’il était Président, ou après…

1 400 millions d’euros ! prix avancé par le royal Real ? Euh ! par souscription nationale ?

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