On suit ce cocktail de panoplie télé de cette Equipe Type, niche à rigolos et auteurs du jeu : masquer un vocabulaire aussi pauvre que le jeu de notre foot pro, via une sanction outrecuidante, sorte de jeux de cuistres sanctionnant les mots dits « difficiles » (tel un paradigme… perdu), de notre langue, jusqu’alors française ? Suivie comme son ombre normale, par celle du Soir, qqfois un poil, Bignols Bands + que commentaires illustrés mais attention policés par un meneur style gendre-idéal faisant dans l’empathie paternaliste, qui adepte des bonnes manières a celles d’un instit’ à la retraite, brandissant en guise de férule un carton jaune scolaire vers quelques as…beens (mélange gros rouge Erik et calcif à dentelles), de l’article sportif, un des plus difficiles à édifier, eux plus à louer qu’à vendre, qui se piquent (ce qui vaut mieux que sniffer), de connaître du bout du crampon, ce jeu planétaire no Un qui passionne tant, déçoit souvent mais comme une vieille maîtresse…. de nos habitudes sait nous retenir pour mieux nous harceler. Comme le match d’un Barça, vampirisant les recrutements, modèle hénaurme et guardalien, ses cascades de passes redoublées, son pressing dévoreur, pirouettes et tirs d’un sublime et corrosif Messi… sorti d’un talmud footballistique, face à la mandoline catalane, un Atletico madrilène mai pas coton voire argentinesque, déployant ses paralysantes tentacules (non c pas une histoire de…) déroulant ses évolutions solidaires défensivo-contrantes, un jeu bloc soudé, épuisante épuisette, qui se veut stratégique, puis l’utilisation finale, comme en bien d’autres sports, d’un spécial Contre… le Grizi, l’envers de la médaille du vénéré chouette foot. Celui qui transcende, fait se dresser des paralytiques, hurler sans fin des reporteurs apoplectiques s’époumonnant. Et malgré tout rend, enfin rendaient, nos cousins italiens d’avant et les germains depuis, et jusqu’alors vainqueurs inéluctablement ! Un rédac’ chef, lui méprisant ce bunker-foot, rouspétant, pratiquant un discret bon sens, oui le chef Chaudard devenu, secouant ce shaker Défense encore, rappelant l’envie, l’amour du jeu chatoyant, jolie dame aux contours ensorcelants : feintes du corps et du regard, balles caressées, essuyées presque, passes talonnées, ou longitudinales de trente-quarante mètres arrivant pile sur le cou du pied d’un forban butteur, pour mieux éclater les mailles d’un filet qui croyant cueillir un papillon, encaisse du plomb, enfin cet insane rondeur plastique. Et pourtant : But, goal, gooool est hurlé, même la Pub reine nous le restitue !
Donc en ces décors rouge-noir-blanc défilant un Mémé, un Olivier ses feuilles sur le front officie, et malheur… non meilleur en barbu, les soirs suivant le diront, même si quelquefois les chiffres-sondages berlurent !
Ordoncques on va disséquer, discuter une passe, certaines acrobaties inutiles pour faire chic, condamner un onze à vingt trois en quenouille, un Président baratineur, un coache starisé, un agent de joueur confondant « bétail » et techniciens aux licences voire maîtrises, diplômes de l’Université du terrain, bref discutant, se coupant, à celui qui chevauchera l’autre… pour faire oublier ParisTurf ? Chacune chacun avec ses favos et bêtes noires, euh ! n’alertez pas la Licra ! après disputes, chamailleries sous le regard acéré, moqueur de la divine Alexandra et ses consoeurs, pas de charité, croyez le. Oyez bon peuple durant ce temps du temps imparti, des fidèles, virtuoses du sms souvent ne recopiant ce qu’ils ont entendu, condamnent, s’étonnent, donc table ronde sans chevaliers sauf de la cantine… Et alors ? nada, niente, nein, no etc quedalle ou presque, se nouent, s’imbriquent, surprise sans pochette, des jeux c normal ! pour les, leurs téléspectateurs qui vont figurer, s’en réjouir…
Que nenni, ces jeux plutôt primaires, sont là pour réjouir, s’amuser, se congratuler, participer … qui ? Ben : les journaleux et consultants présents! On les fait s’affronter et s’acclamer, se plaisanter : bravissimo mais ces joutes fabriquées ne semblent pas, non franchement pas, amuser tous les abonnés, ceux qui font vivre, exister mais ceux qui devraient les intéresser, les garder attentifs, mieux les fidéliser, eux qui se consument ne pas être vus par leur concierge en ce petit écran devenu bien trop grand, pour la foule des autres, semble-t-il.
Souvenirs souvenirs : un tr grand journal connu jadis qqes uns de ces épisodes, comment dire ludiques ! On enjolivaient les pages pendant que le lecteur attendait plus d’infos, de commentaires alors que ces enjolivures le laissaient de marbre, pouvait-on dire, et les abonnés insensiblement désertèrent ce paquebot et nouveau Titanic, frappé par l’iceberg des fausses bonnes idées, disparaissant lentement mais corps et biens !
Le mieux est quelquefois l’ennemi du bien certes le souhait de tous, en ces temps économiquement impitoyables, est la réussite pleine et entière de cette mouture et de ses auteurs, sans oublier que l’abonné qui fait vivre tout ce petit monde vite se lasse, et que son intérêt gage de sa fidèle présence doit être la primauté sur le syndrome tendance, la boboterie et cet « oubli » trop souvent de celui qui paie pour être étonné voire convié au partage !
Candidesenior vous salue toutes et tous cordialement, protège-tibias bien ajustés, et ne fait qu’exprimer des sentiments qui ne sont que ceux d’un moment, puisque l’exposition publique suppose critiques souhaitables mais désintéressées et que l’enthousiasme créatif ne saurait masquer les inévitables imperfections mais agréments de la novation. Se faire plaisir soit, sans délaisser ceux qui sont la survie professionnelle.
NB.- Incriminer Canal Moins dans cette affaire des Droits télé du foot anglais ok mais ne pas oublier Bein Sports, lesquels ont, avaient les moyens sauf erreur de surenchérir mais en cette compète financière ça finit par exhaler une odeur d’entourloupes, sans laquelle dit-on, y aurait pas de bonnes affaires…
Classement des consultants sur le mois précédent:
Paul Leguen 8
Reynald Pedros 8
Yoan Micoud 7 demi
Marc Libra 7 demi
Luis Fernandez inclassable car showman surtout
NBis.- La Fête à Rico de la Plata ?
Hier cantine un peu trop arrosée ? L’enthousiaste Eric, qui lui ex-grand joueur de rugby du Racing, reconverti au Foot et surtout au Barça son idole, comme d’habitude exposait son avis technique circonstancié sur les matches de ce Championnat d’Europe dont la victoire contrastée de Lyon surtout, et Monaco. Cette fois, les journalistes présents accueillaient les jugements abrupts de Rico avec des sourires, si on ose dire entendus, des clins de yeux moqueurs, tous complices, des remarques charieuses souvent frappées du mauvais sens : On t’aime bien mon Rico mais eh ! c pas ton boulot mais notre taf, alors parle toujours… Et à la moindre erreur, l’un rectifiait goguenard, l’autre soulignait une approximation. Bref la moquerie sur plateau semblait petite orchidée défraîchie fleurir à la boutonnière de certains, si sûrs de leur savoir… Bien sûr Mémé présidait avec l’impassibilité du meneur, genre père de famille laissant les gosses se taquiner gouvernait ce jeu tr organisé, Micoud, le vrai professionnel, lui sur la retenue, Rico continuant son bavardage, sans y voir la moindre malice… Oui la cantine avait dû laisser des traces, sinon que le message semblait clair : laissons aux pros de l’Info, aux experts, émettre leurs avis de pros avertis, qui comme tous savent en valent deux, les amateurs peuvent donner les leurs mais le nôtre reste celui qui compte ! Fermez le blanc ou le rouge !
Candidesenior précise s’il était besoin, qu’il n’a aucune sorte de lien avec quiconque des acteurs de la hier petite pantalonnade publique, qu’il ne connaît que télévisuellement les protagonistes de cette émission, comme d’autres, du même… tonneau.
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