Si Alphonse dans le brouillard (c amical) avait eu quelques absences, notre équipe tricolore mondialement couronnée aurait pris une valise, que dire ? Une malle, entre 4 à 6 buts.. Sans Neuer les cousins germains s’en prenaient deux sûrs, voire quatre.
Imaginez l’effet ! les commentaires ! les Une, les photos en boucle de par le Monde, les regrets belges exascerbés ! et aussi les interrogations, d’avoir acceptés une telle rencontre, après les semaines de joies, de « noubab » certes contrôlées, les vacances plus que bien gagnées, et enfin d’avoir… prévu ce sacre, que peu d’éléments laissaient deviner… Sauf DD certain d’avoir des équipiers pour la gagner, s’ils jouaient et n’utilisaient que ce qu’ils savaient faire et bien faire, avec argument de choix ! l’élimination prématurée des équipes connues, presque statufiées: la sortante, la possession presque maladive, dès poussins, ibérique. Pas trop jouaient comme la France : une défense assise sur un jeu hautement collectif, et la faculté après solidarité et dévouement constants, d’offensives tr rapides, après qu’un essoreur de classe mondiale, eut colmaté, ratissé le jeu adverse, en fluidifiant les relances les plus rapides possibles, relayées par un inattendu et bien bon Pogba, enfin en bleu de chauffe, certes rapiécé, et lors des fatigues de l’indispensable Kanté, un Nzonzi doté de surcroit d’un physique plus qu’élevé, puisque notre hénaurme fourmi black inépuisable, se situe taille au ras des pâquerettes, lui, si modeste, si humble. Si lui-même.
Et élément force : un moral tr élevé, sans failles, partagé par tous nos remplaçants. Eh ! un mot à bannir! compréhensifs, bien appliqués, avec ce facteur chance qui nimbe tous les Champions !
Oui l’occasion était belle et diffusable… de mettre en doute ce qu’avaient déjà faits certains de nos valeureux adversaires, tous plus ou moins publiquement, cette équipe de France qui « a mal joué, a négligé une jolie possession durable », ex-arme fatale des cousins ibériques de nombreuses années, jusqu’à ce que chez eux l’Atletico madrilène démontre le contraire, en lissant la starisation de leurs meilleurs éléments, sous la devise : Tous au charbon-gazon, tous peuvent défendre, et marquer !
DDG dit Didierla Gagne, après le match contre l’Australie, reste certain, que seule cette façon de jouer et l’état de son effectif peuvent lui permettre d’aller plus loin que prévu, à la condition que s’ajoutent à une défense de fer, style 98 recorrigé 18, des joueurs dont des demis et avants tr techniques, travailleurs et super rapides, dès que s’ouvrent logiquement les espaces.
Low le coach germain avait compris la leçon, en plaçant ce connu Werner tr vif sur le côté Pavard, moins à l’aise défensivement, et surtout en condition physique comme tous ses potes mondiaux, bien inférieure à celle des cousins germains au top, mais qui avaient, le hic, sousestimé leur faculté de défendre leur couronne, qu’ils démontrèrent, même si inférieurs nettement en condition, réflexes et accélérations, avec des remplaçants dont certains on en connaît les manques comme Ndembélé, pote de Kylian, mais qui n’a pas encore la vision footbalistique à la hauteur de ses possibilités en vitesse et dribbles, ce qui n’est que question de travail constant, dont au Barça !
Donc ramenons ce match-piège à son vrai niveau… Sinon aux intentions réelles FIFA 1 surbrodées par cette éviction tendancieuse des joueurs français d’un palmarès dont ils peuvent… aisément se passer! La bureaucratie systémique ne vaincra jamais l’action, le moral, la constance qui les accompagnent…
Dimanche, même dilemme : aligner des joueurs mieux physiquement mais au moral de vainqueurs jouant collectif, défendant collectif, avec Nzonzi remplaçant Ngolo, et les anciens et nouveaux animés du même désir, de la même foi : Oui honorer leur toute fraîche et fragile statuette dorée confortée par leur attitude et résultats, qui les ont faits ce qu’ils sont, et seront.
Candidesenior vous salue toutes nos fleurs des tribunes, on pense à qqchose pour vous toutes, du pesage aux populaires comme dit à… Auteuil, et tous crampons revigorés levés, célébrerons au stade de France, un succès qui n’a pas plu… au fait à l’Allianz Arena où manquait dirait Mélenchon Angela, mais elle a du flair, çela n’a pas aidé nos Mondiaux, n’a pas… souri, grimaces ? à tout ce monde administratif du foot, où tout se côtoie et…plus ou moins, s’accepte. Certes quelquefois du bout des doigts, du bout des lèvres, lui eux, pas assez conscient que l’essentiel est le terrain, les femmes et hommes qui le meublent et l’animent, et pas ou peu les, comment dire ? des embûches, ordonnances, diktats orientés et autres gadgets paperassiers souvent superfétatoires, puisque seuls les athlètes en définitve, disposent !