La vague organisée de longue date de participations à cette Primaire conne, conne car on aurait dû désigner mais que par militants et sympathisants, le candidat Républicain le plus efficace, le plus outillé, le plus connu, d’abord au niveau mondial pour intervenir par actions certes concertées au niveau européen, sur cette autre avalanche de problèmes planétaires : situation économique financière et donc sociale plus que préoccupante, urgentissime au plus haut niveau et dont TOUS, n’en déplaise aux médiavores, dépendent avec de surcroît, un terrorisme politique religieux, qui comme une tache d’huile d’olive grasse, s’étale faute d’acteurs valides, prêts à en peser, en tirer les conséquences… Suspendant un instant leur petite guerre tiède, mitée par des visions stratégiques d’un autre temps, qui insécurise les populations occidentales, menace de s’étendre à d’autres lieux géographiques alors qu’en notre cher et vieux pays se disputent, se querellent, oh pas un mot plus haut que l’autre, le couvercle télévisuel mis en fait sur ce qui apparaît comme une sombre historiette d’ego, d’ambitions, de revanches, que rien ne légitiment, de stratégies supervisées par ce si vieillot tiers-état revenu, se voulant arbitre engagé là seulement pour oeuvrer à une… nomination plus qu’une élection prévue « du meilleur d’entre », eh ! entre nous, pas difficile! rassemblant les indécis chroniques, les atlantistes rêvant depuis Lecanuet encore d’être une étoile du… parapluie devenu ombrelle du nouvel oncle Donald, d’une équipée tout feux tout drames d’arabos-musulmans, anti-Nico dès qu’il est apparu, de gauchistes-gauchards-socialos(plus-rien), écolos de consolation, réseaux sociaux harceleurs alliés de tout ce qui bouge, crache et condamne. Tous incapables de gouvernance, lorsque…les caisses sont vides depuis des lustres, marchandés aux Puces, formations hétéroclites unies par la détestation d’un homme, tout leur contraire, que nous envie d’autres populations, mieux informées car pour lui l’action utile à tous précède ou suit le verbe. Cette manie de certains politiciens adverses qui se persuadent, clament qu’on règle les urgences avec des mots, des formules, des placards publicitaires. Des « affaires » en forme de mensonges, aidées d’officines relayant des infos tronquées, des témoins retrouvés circonstanciels déposant le jour qui convient, qui ont un dossier, disons négociable, un patchwork de nantis, redoutant qu’on change le timonier prévu dont le sextant (sans jeux de …) n’indique qu’une voie navigable. Celle qui convient à cet establishment gouvernant tant mal que bien ce grand pays qu’ils se plaisent, semble-t-il, à rétrécir pour mieux le dominer ?
Reste deux nominés, l’un naguère ex-Premier ministre valeureux du, comment dire, du… Maudit au programme proche ce dernier, qui nous-vous quitte, l’autre tr convenable plutôt convenu au programme centro-chiraquesque, ralliant aussi les déçus du Maudit, eh oui, les promos, ministères, présidences ajournées, choix de Sarko tenant compte de l’intérêt national plus que de l’intérêt de l’intéressé, une vocation chez certains, ou ambitions retardées, avortées. Il est vrai également des rabroués, des méprisés trop, car le Maudit ne cachait guère ses humeurs. Un petit très petit monde qui suivra, pourvu qu’on ne bouscule personne, qu’on demeure entre soi, connus, répertoriés alors qu’il faudra trancher, remettre en ordre et surtout ramener au jour ces problèmes cruciaux qu’on ne veut que nationaux mais qui sont d’abord d’ordre planétaire, à leur niveau réel et négociable y compris les plus injustes, les plus douloureux. C d’en haut tr haut tr largement et d’urgence que sont les solutions fiables partagées, pas au niveau des grèves à venir, des défilés, bons pour la santé! démonstrations démocratiques, tics bobos mais qui n’ont jamais rien réglé, sauf le sort de ministres virés, débarqués, alors qu’ils ne faisaient qu’accommoder une soupe clairette, laissée par d’autres connus depuis trente années, et qui sont partis pour des courses lointaines, et qu’on s’efforce encore d’ovationner, de panthéoniser alors qu’ils relevaient des sifflets voire de la porte mais alors comment endiguer ces « légendes » politiques qu’on enterre en grandes pompes dont on taira pieusement le nom et l’usage qu’on aurait dû en faire.
Oui mon-notre Général, des ânes bâtés mais surtout la plupart trompés , une fois encore!
Candidesenior se croit autoriser, persiflait Coluche, à souhaiter à Nicolas Sarkozy et surtout son épouse enfin, repos et bien des plaisirs (pardon notre Général) mais qui reviendra, comme dirait notre bon Enrico, c’est écrit ! Aux deux lauréats, au couronné pour le fauteuil présidentiel, après sa lutte épique (et colegram) avec les gars de la Marine, bien du plaisir ensuite avec nos cousins germains et européens, nos voisins indo-asiatiques et américains afin de se sortir « de ce merdier » comme maugréait un certain colonel, un brave pour qui patriote n’était pas un gros mot !