S’agit-il d’un divorce, d’une séparation à l’amiable pour eux qui vont monnayer tout et n’importe quoi, et vous le savez en nous lisant : en listant les interventions, les inclinaisons, les exigences en avantages, en lois et décisions favorisantes, en commissaires et autres intervenants, et aussi en boustant fortement l’entrée de pays certes honorables, proches voire amis, mais qui économiquement, socialement, « monaitairement » n’avaient rien à y faire, sinon que comme membres éventuellement associés, nous sommes tentés de maugréer comme pour Hogdson le sélectionneur anglais banni : bon débarras …
Les anglophiles les plus éminents, les milieux financiers proches de la City, les Seniors en souvenir de 40-45, ou encore certains cercles culturellement admiratifs car issus de leurs ex-colonies (et évangélistes) qui jamais ne les traînèrent dans la fange comme trop le firent des nôtres, ces dominions si anglo-saxonisants avec yard, conduite à gauche, sous-offs’ le stick toujours sous le bras, et autres folklores marquant leurs séjours séculaires, ces clubmens qui se lamentent, nous invectivent, ne pas l’être ou le devenir, vont se traîner aux pétons menus de la Reine, et par notables politiques amis, plus ou moins intéressés, vont militer est le mot, pour faire que cette séparation démocratiquement votée, soit la plus… longue possible afin d’en tirer encore des avantages. Car c ce qui nous séparait de cette présence insistante et pesante était : ne voir de cette Union européenne que ses avantages commerciaux présents et futurs, en se préservant toujours de tout accord, loi qui les obligeraient à contribuer à son existence, sa valorisation et sa prospérité. Avec une foule de décideurs alliés, nommés en charge des secteurs financiers et commerciaux, et qui firent florès Les meilleurs connaisseurs de Bruxelles en privé font ce même genre de constats mais chut fallait conserver quoiqu’il en coûte cette part de la Couronne, la passéiste Entente cordiale alors qu’elle vient de confirmer son statut d’îlienne farouchement indépendantiste, sans la tolérer pour ses Etats voisins frères : Ecosse, Irlandes.
Donc désormais chacun chez soi, en bons voisins et voisinage, et l’Union européenne sera bien gardée, d’abord en revenant aussi au noyau formateur de cette Europays, ouvert aux associations commerciales et financières, aux échanges, aux associations d’Etats voisins, sans ses 27 ingouvernables, aux projets d’infrastructures dans les cartons, pour le bien commun mais compensés et pas réduit qu’à une Union monétaire, dont eux mêmes s’étaient exclus, scellée afin que cet Euromonnaie soit consolidée avec la politique commerciale, financière et sociale qu’elle exige, plus qu’elle suppose. Et renégociations partielles des traités et des termes de certaines récentes adhésions, triées par… l’acceptation et surtout la possibilité de la tutelle de l’Euro !
Kebab viande grillée ? Yes mam mais pour tous !
Candidesenior vous salue toutes et tous bien et n’est ni anglophobe ni file mais souhaite que son pays co-fondateur de cette Union participe avec les autres fondateurs à une rénovation des droits et devoirs de chacun, à une refonte entière ou partielle des traités et des membres participants, de leurs candidatures au secteur monétaire Euro mais cette fois clairement avec la politique financière, commerciale, sociale qui accompagne harmonieusement cet Euro, qui va avec !
Rappelons ce projet d’accord commercialo-financier voir social (avorté ?) venu de nos indéfectibles alliés US, et qui ressemblait plus des offres… en forme de concussions qu’un accord amiable et ses compensations bien et justement réparties. Marre des impérialismes souriants mais unilatéralement souverains !