Présentation

Blog pourquoi ?

Blog Candide Seniors, pourquoi ? Candide car pseudo voltairien, utilisé depuis 87.

Une multitude de sites et autres blogs fleurissent sur la Toile. Ajoutons en, un autre, destiné aux oubliés du paysage polico-social : les RETRAITES.

15 millions en France, des 60 millions recensés. Plus de 100 millions en Europe.

En ces jours où des manifestants appelés, par des organisations syndicales  aux abois, défilent. Pour faire plier le gouvernement, on fait appel aux lycéens, aux étudiants, qui avant de songer à la retraite,  devraient penser à travailler.La simple évocation de la retraite étant, chez les recruteurs, un point disqualificatif, pour une future embauche. Le savent-ils ?

Une démographie galopante, la première d’Europe, des décennies de  laissez-aller coupable, qu’il soit de droite et de gauche. La féroce concurrence mondiale amenant des délocalisations nombreuses, et donc une réduction du nombre des salariés, donc des COTISANTS, donc DES RESSOURCES A REPARTIR, Et là le régime de la répartition est sans appel. Il faut donc mutualiser les fonds, devant ce manque chronique, soit diminuer les allocations, ou  allonger l’âge de départ.

Or notre pays est fragilisé par une crise encore latente, il risque de l’être plus encore, par le dogmatisme revendiqué par des inconscients ou des opposants. Qui, quoi qu’ils prétendent, avaliseront, revenus au pouvoir, les mêmes décisions, allonger l’âge du départ !

Plus exigée encore, cette réforme, par une Union européenne qui, dans son ensemble, s’est depuis, quelques années déjà, pliée à des évidences arithmétiques. Imposées aussi par les marchés, et  le crédit finançant nos dépenses, par milliards, depuis des années. Budget en péril !

Car ces prédateurs ont créé des agences de notation, scrutant les comptes  non des entreprises, non d’organismes financiers privés, mais de Gouvernements, démocratiquement élus, d’Etats…  Agences, dont il se murmure, avec insistance, qu’elles dépendent, des mêmes organismes bancaires.

Moins d’actifs cotisants, on compresse la masse  salariale, donc les emplois,  alors, moins d’allocations à répartir. Puisque régime français est par répartition, voulu, dès avant 1945, par Le Conseil de la résistance, et appliqué fidèlement par le général de Gaulle, la Deuxième guerre mondiale, terminée.

Guerre et Occupation terribles dont certains d’entre les aînés, ont souffert, jeunesse sacrifiée, passons, c’est le passé.

Beaucoup, en parlent, les moins âgés. Aidés de ce qu’on leur a dit, de ce qu’ils ont lu. S’autorisent  à bien des interprétations. Plus pour défendre des options politiques ou sociétales, certes honorables, mais laissons l’Histoire, aux historiens sérieux et neutres.

Autre temps, autres mœurs.

La mondialisation, voulue plus par des pouvoirs mercantiles, appliquée par des politiques angéliques, ou retors, a tout modifié. Faisant des riches plus riches, des pauvres plus pauvres. Dure loi des vases communicants. Savamment élaborée par des décideurs anglo-saxons, rêvant de rétablir,  par manipulations efficaces, l’empire financiero-commercial, du Comptoir des Indes. Permettant à l’Angleterre et ses alliés nordistes, de dominer, depuis l’avènement industriel, en Europe, vers 1850, le Monde, durant plus que des décennies.

Avant que les Etats-Unis leur  échappant, ces derniers prennent le relais, en attendant Chine, Brésil, Inde…

Et « notre vieux, ô combien cher pays », dans cette périlleuse aventure, dans toute l’acception du terme ? Après Pompidou, construisant un paysage plus industriel, Giscard et Chirac, gérant plus mal que bien, une France, qui se livre alors- (après le long intermède Mitterrand, né de la querelle giscardo-chiraquienne, et socialisant le paysage franco-français, doté des mirifiques 35 heures,  rêve d’énarque, complètement déconnecté, des contingences productivité-concurrence mondialisée, et qui fit rire tous nos voisins mais hélas concurrents)-, oui  succombe notre pays, aux querelles habituelles sur le sexe des anges, pendant que nos voisins et concurrents, répétons-le, réformaient leur structure sociale sur le fond, s’armaient contre les inégalités, scories de cette mondialisation, voulue. Non maîtrisée, pour le seul profit de quelques spéculateurs planétaires connus. Quelques uns de nos retraités ont vécu et continuent de vivre les affres de la Bourse, travestissant même des contrats assurance-vie, indexés sur des valeurs boursières, souvent sans qu’ils le sachent. Bourse devenue reine, aux dépens de l’Entreprise, qui jusqu’alors dirigeait sainement, la prospérité mondiale.

Et les banques continuent de garder leur département spéculatif, de jouer casino, sans séparer et lester de fonds propres, ce secteur à haut risque.

Nul n’est besoin d’être de gauche ou de droite pour rejeter une rigueur et  des sacrifices dont classes moyennes et salariés, laissés-pour-compte seront les seuls payants ! Or même l’opposition se tait, rejetant cette rigueur sur un homme honni, le président élu, certes à certains égards, mal-aimé. Toutefois qui peut sérieusement le dire responsable, de cette débâcle financière mondiale ? On pourrait le croire, en lisant nos médias, en lisant des blogs, des hebdos presque hystériques. Alors qu’un énarque n’est pas aux commandes, et qu’il essaie de concrétiser, ce qu’il avait promis, Avant la crise, non ?

Durant ces trente glorieuses, aucune perspective d’avenir socio-économiques ne fut ouverte, concrètement. Des discours, des promesses alors que tout allait presque bien, sauf un budget déjà, constamment en déficit.

Des idées furent émises, des solutions d’avenir proposées, surtout sous le règne chiraquien, personnage sympa, travailleur, cultivé, connaisseur du paysage politique, bête de scènes, pour la conquête du pouvoir. Le pouvoir conquit, restant muet devant des réformes indispensables, qu’il savait. Pourquoi ? Paralysé par la peur des réactions de la rue, des étudiants, syndrome 68, pas mort ! Bien qu’il ait dissous l’assemblée, pari ubuesque, sous la pression de Villepin, baptisé, en l’occurrence, par Bernadette : « Néron ».

Nous avions-nous-même à notre modeste niveau, conduit par le simple bon sens, qui manque, quelquefois aux décideurs, par le canal filial, pour l’atteindre plus sûrement, passant le rideau des conseillers et autres assistants, proposer bien des idées, dont certaines furent reprises. Sous pseudo de Candide.

Cela dès 93, quand J.Chirac était au plus bas des sondages, et son ami de trente ans, Cher Edouard, pratiquement élu, sans problème. On connaît la suite.

Rien contre Balladur, sauf qu’adepte de un pas en avant et deux en arrière, au moindre obstacle.

Quand ce microcosme comprendra, qu’ils ne sont pas seuls au monde, même leur Europe, tant voulue, tant aimée, les contredit, trop souvent. Sans évoquer le monde planétaire si remuant. Non nous ne sommes pas seuls, nous ne le sommes plus. Alliés certes conscients, respectés, à leur place, partageant les responsabilités, sans pirouettes défiances mal-venues, au moindre bruit ce remaniement. Cap sans faiblir et ensemble, pour des sénatoriales à risques, suggèrent, les moins partisans.

Idées réformatrices donc, reprises surtout  par son successeur. Nul ne saurait se targuer, d’être le seul à connaître la raison, des vérités, qui en ces domaines, ne sont que celles d’instants, plus ou moins brefs. Des réformes furent proposées, dans le programme 2007, du futur Président. Un certain nombre furent entreprises, pas jusqu’au bout. Car le lobby des avantages acquis certes, en d’autres temps, se cramponnait, et se cramponne encore.

Et, durant tout ce temps passé des vaches grasses, devenues efflanquées, que faisions-nous les Anciens, les Seniors, devenus les Aînés ?

Nous votions pour ou contre untel. Abstentions pour les sceptiques, non vote pour les désabusés. Cajolés de discours lénifiants, de semi-promesses, que murmurait, un vieux routier politicard, « n’engagent que ceux qui les entendent »

Sans protestations, sans trop d’illusions, devenus depuis, de simples numéros de Sécu.

Beaucoup soutenant des enfants, sans travail, sauf pour les produits des Grandes écoles.

Certains continuant un travail associatif. S’occuper par engagement respectable, ou  pour meubler un temps vide, qui rapidement se remplit.

Surtout laissés comment dire, en jachère, avec pour trop d’entre eux, des situations socialement, humainement catastrophiques.

Surtout nos retraitées. Certaines n’ayant même pas une retraite, couvrant leur loyer, après le travail de toute une vie, des enfants ! Lamentable.

Travailleurs et retraités PAUVRES … Les Résistants doivent se retourner, dans leurs fosses de fusillés.

Evidemment existent, des associations de retraités qui, faute de moyens, faute d’être entendues, font ce qu’elles peuvent.

Et pourtant, réfléchissons : 15 MILLIONS DE VOTANTS, devraient être mieux pris en considération.

A notre plus que+ modeste niveau, il nous est apparu que les idées que nous avions léguées à des élus, au plus haut niveau, que ces réflexions socio-politiques devaient être exposées, non pour tel parti politique, pour telle association, mais pour notre pays, la France, que nous souhaitons éternelle.

France où une injure, des crachats sur son Drapeau brûlé sont  traduits en amende. NOTRE drapeau, celui de Marignan, Rocroi, Arcole, Austerlitz, de la Marne, de Verdun, des victoires de Leclerc vaut… 1500 euros.

Soldats dont ceux de l’Afghanistan, votre vie, pour nous, les Aînés, vaudra toujours, bien plus.

Triste épisode moderniste, pour un emblème, qui devrait tous nous réunir.++

Enfin le problème devenu des communautés religieuses  et de leurs représentants dont l(une intervient souvent nptamment depuis l élection du Président Macron qui ne se fît  qu’avec l’accord de deux principales communautés religieuses  représentées de façon très actives et qui exigèrent durtout une une bien meilleurec représentativité à la surprise de téléspectateurs qui savent lire et traduisaient rapidement les noms en traduction communautaires  à laquelle s(ajoute l (omportante en nombre communauté africaine elle subdiviséeen pays pour ne pas dire tributs peu homogènes saur sur la colonisation  point très sensible inoculé en quelque sorte dès l adolescence  transformée en gardienne mais revendicative depuis cet esclavage de tout temps de de toute nature et qui subsiste encore une communauté pluôt tranquille  et peu encline qu Pouvoir….

Engagé volontaire,en 45  nous avons toujours eu, reconnaissance à notre pays, d’être celui l adilescense des libertés librement consenties, où il fait bon vivre.

Il n’est que s’exiler professionnellement, ou en vacances, pour mesurer notre bien-être, lorsqu’on revient… à la condition d’y connaître, des conditions de vie sociale décentes.

Dans un blog mensuel, nous livrerons quelques réflexions, idées, certes tout est discutable, mais avec un seul but, que notre belle France redevienne un pôle européen social, culturel, tel qu’il aurait dû le rester.

Candide Senior, septembre 2010+