Candide Senior

La sauce basque a bien des raisons de ne pas encore prendre, les joueurs ne sont pas des machines, ils avaient leurs habitudes teintées Blanc : possession, au train… souvent de sénateur, bicause des joueurs talentueux mais s le retour : Motta, avec un Verratti en passes tranchantes, par réactions, qui ne recouvre pas encore ses virtuosités, ou Pastore-tango en promenade argentine 1. D’accord avant, ça fonctionnait mieux chez nous avec l’ogre Zlatan et ses buts de raccrocs, aidé par un Cavani plus spontané, malhabile dès qu’il faut enclencher à retardement, plus travailleur en suppléant d’élite car le reste du bataillon n’a pas tr changé, il n’aide guère les possibles « artilleurs ». Peut-être Matuidi par percées, Lucas tr loin de ses possibilités, de ses moyens, tête encore trop dans le guidon carioca. Surtout pour tous les connaisseurs, l’immense déception Di Maria, tous sidérés, conquis par sa demi-finale du Mondial, présent en finale l’Argentine gagnait ! et ses prestations madrilènes, en demi offensif orientant, plus passeur que réalisateur, derrière de grands buteurs de métier. Regrets mancuniens ? forme physique défaillante, mieux orientée vers un printemps décisif ? Difficile de jauger, reste que le jeu verticalisant d’Emery avec latéraux perforants et centreurs d’élite ne se prête guère à de sporadiques envolées, que n’entreprennent pas ou peu, de bons pros, un peu perdus entre le passé récent et ce présent contraire, et plafonnant ces onze en Euroligue… Retour mardi à Bâle aléatoire !
Le casting probablement en attente d’un autre messie argentin Simeonne se délitait ! Contre le dogue lillois défensif ils ont souffert jusqu’à un des missiles de Cavani perforant les filets : 0-1
Avec un Jesé voulu et un Ben Arfa à contre…choeur, tr peu employé, et qui ne s’implique pas assez, ou veut sauver la patrie, et une équipe qui comprend mal son jeu, négligeant… encore trop ses replis en urgence, une défense, et qui elle-même n’est pas assez… bloc, avec une charnière solide mais aux arrières tr portés sur l’attaque et que les demis défenseurs-attaquants ne suppléent pas assez, comment dire… mécaniquement !
Ce mi-Blanc mi-Emery, c de la navigation par temps de brouillard et le choix doit être fait tout bientôt mais illustre la précarité des décisions du Président Nasser, que la défaite devant City a vraiment fragilisé, au point que des connaisseurs du dossier confidentiel de la venue espérée-par ceux qui aiment et savent le foot- de Neymar fils et des négociations engagées comme déjà dit, savent qu’on tente, comme le sympathique « poignardeur » Damien, de cacher l’échec de ce transfert par le prétendu fair play, dont s’affranchirent le Barça et d’autres, et que des ventes opportunes peuvent annihiler. Le qatari PSG avait tous les moyens de satisfaire les exorbitantes exigences de Neymar père. Or le vrai et seul décideur à Dubai, encore outragé par cette défaite City, suscitant encore des gorges chaudes aux Emirats, vexé serra au dernier moment les cordons de sa colossale bourse. Et le prodige carioca est resté catalan !
On devra faire avec des éléments d’un mercato décevant dont le comble reste qu’en cas de blessure personne ne peut remplacer Edison ! D’urgence à régler !
Lyon vient de gagner 2-1, non seulement à être connu… à Toulouse où le mage savoyard surgonfle les voiles du Capitole mais à dix a su résister, déployant un moral, une vista, des solidarités qu’on croyait perdues. Ce match peut signer un renouveau que beaucoup attendent puisque notre Championnat national se doit d’avoir cinq-six équipes, comme dans tous ces joutes alentour, de niveau européen !

1 Premiers pas du tango dansé.

Candidesenior a ressorti ses crampons qui grincent quand on les vissent, eux ou les artis ? et vous salue toutes et tous : chaleur heureusement, surtout les dames, et se, vous souhaitent un automne frétillant, passionné en Euroligue, même si le printemps restera décisif !

Un mot sur Lolo Blanc à l’Inter de Milan. C’est pas une bonne idée, peut-être un hors-d’oeuvre ?, sa destination, après l’évitable traversée du… dessert de Mourinho, c’est… Manchester United. Son univers austère, sérieux, dur, comptable mais familial est fait pour notre grave Cévenol, c lui le successeur attendu de Sir Fergusson, qui lui-même savait que ce serait lui ! On parie ?

NB.- Autres temps autres moeurs… Tiens on devrait en faire une rubrique hebdo.
La Pub dépasse tout, depuis que les achats partout périclitent alors certains font fort ! Peut-on être indiscrets : Pourquoi oui pourquoi, n’avez-vous pas tous encore… d’Opel ? Voyez les gens du BTP ? Eux doivent en avoir une car comment ouvrager, vivre sans son Opelle ? Ces annonces lancinantes tiennent en haleine (on ne dira pas quel dentifrice peut…) certains téléphyles chroniques s’alanguissent séduits. Alors que pour d’autres ça semble n’être que simple pare-chocs,que rayure contre-productive.
Ajoutons ben, qu’on en a pas… parce qu’en existent d’autres aussi attrayantes !

Tout revient inlassablement comme les marées : le script ? Ces cinq chomdus d’avant, gagnent à la Loterie qui pour ne pas disperser leurs amitiés transforment un lavoir, tout un symbole politique, en guinguette du plaisir d’être, de détente et d’amours et ces pérégrinations, avec ces rivalités romanesques inévitables et la finalité d’un duo magistral inspiré par une pulpeuse Gina, et ses pouvoirs séducteurs 36 ! Avant c était mieux ? Non tr différent ! Sauf ces presque ressemblances…
Les Médias, grands électeurs quoiqu’on dise ou pense, alignent ces candidats plus Une, en une Primaire contre nature de la vraie Droite conviant les militants, et une foule d’électeurs divers ô combien, qui s’abreuvent aux réseaux sociaux du n’importe quoi, pour trop d’entre eux, exposant à quel point l’enseignement si nombreux, si influent socialement, si causeur a failli à ses tâches ! Réseaux de l’écrire, après avoir lu, entendu voire déchiffrer, retraduit en un français cousinant quelquefois le correct et exprime des souhaits, ben… qu’on a lu, entendu. Puis protestant, récriminant, condamnant, alertant. Ou ne faisant, eux aussi, que reprendre le cri des autres, ceux du terrain, leurs révoltes ou leurs choix. Hélas tr souvent orientés qqfois manipulateurs, n’oubliant jamais de se draper du drapeau d’une démocratie ouvre-boîtes, et couvrant d’une véritable… tentacule influente le territoire électronique des ondes nationales, voire plus loin, selon que…Par certains de leurs « experts » eh oui y en a ! savent aussi doser des formules, des nuances, des mots, des expressions, subtils tuteurs de ces nouveaux informants (ça vous rappelle rien?) aux formules originales ou ressassées, croyant qu’ils sont écoutés alors qu’ils ne furent qu’entendus, perçus peut-être pour ce qui les servirait, des décideurs qui ne sont que rarement, regrettable peut-être, ceux qu’ils croient interpeller.
Bref nos concurrents primaires devenus des plus huppés (c pas un choix) à l’inconnu des plateaux (en marron, déjà ?) se prêtaient à l’exam’ de trois examinateurs sérieux, presque objectifs, à des questions, certaines auxquelles il n’est pas sérieux, convenable disait le grand Jacques revenu chez lui, de répondre, et qui seront plus ou moins habilement résorbées. Et bon peuple écouteur, qu’on pouvait être assurés (c la moindre des couvertures) que des solutions futures seraient trouvées et euh appliquées. Là, certains avec des nuances sémantiques procédant plus de l’intention que de l’action, chacun à sa façon, ou l’énarchique pour ceux qui en sortent, polie et technicienne pour la seule dame survivante, plus énergique pour les tr rares qui on devrait le sentir pour choisir, le feront !
Aucun n’a dominé ce cénacle des promis au fauteuil présidentiel puisque Hollande pour anesthésier joue les perdants, et que le reste de la Gauche s’interroge sur sa présence… au deuxième tour !
Des mesureurs politiques passent au crible les intonations, les masques, et autres escarmouches, un Copé réglant trop ses comptes pig, pardon bigmalion, et Fillon rappelant à Sarko qui se « couplait » avec lui, sa… leur présence politique et gouvernante commune positive !
Alors après cette première tournés, bientôt celle de la Patronne ? on en attend sans hâte, une, peut-être plus animée, même si tous ont bien compris sauf un, que les egos sont provisoirement remisés, les divergences remplacées par des différences, et les premiers accrocs au billard politicien d’avant et du présent, vite rapetassés …

Quelques remarques sur l’aspect scénique de ce premier tour de piste:

NB.- Mimiques faussement naïves de ce Poisson d’un aquarium moins connu, ce qui peut de lui, l’inconnu au bataillon, ondoyer en sa faveur, Juppé pour montrer sa détermination forçait à ces instants, un peu ses intonations, masque plissé : Alain c pas son registre ! Copé et ses coups de griffes expose trop ses rancoeurs or et argent, c ne sont pas les attentes des électeurs sauf socialos, Fillon reste à l’affût mais sait que toute bagarre de chiffonniers serait le cadeau attendu du sortant, qui faussement se dépouille, BLM lui formule de bonnes et crues propositions qui le coupent des nonchalances centristes, NKM égale à elle-même. Oui la belle équipe qui devrait se souvenir de ramer ensemble mais plus adroite car le désigné devra se résoudre-ils le savent tous– à contrarier bien des espérances du présent, le futur n’étant que spéculations, également installer son autorité, le hic ! mais dont on doit savoir qu’elle sera sans faille… Le radicalisme certes social des beaux jours n’est plus de mise, c un pari, même tant regretté d’aucuns, perdu.
Bémol: ce n’est pas le registre attendu de l’ex-Président de souligner les inconséquences outrancières de l’actuel mais de son proche entourage.

Candidesenior vous salue toutes et tous croixdelorrainement souhaite un candidat qui se détache, sans oublier, ce monceau de réformes urgentes qui restent à mettre en place. Partager voire imposer, ordonner comme ordonnances du médecin, qu’il devra assumer et si les Médias l’imposaient : un autre, comme l’ont fait la plupart pour le départ du précédent Président, s’ériger alors en solitaire, loin de ce scrutin pervers fait pour les convenances, les accommodements qui freinent ou fossilisent ces réformes de fonds irrévocables révulsant des minorités plus qu’agissantes.
Et il ne s’agit nullement de syndicats régulièrement élus qui savent leurs réelles limites en matière de représentativité, même si des moyens de pression publics existent mais que notre situation financière et économique par d’inévitables courroies de transmissions, un langage qu’ils connaissent, limitent forcément.

1 Film de J.Duvivier avec Gabin et une pléiade de grands seconds rôles, désolé vraiment, mais qu’on a plus en magasin, en coulisse !

Comme s’indignait un chroniqueur, on ne fait et tout est prétexte pour parler voire invoquer ce nouveau st Paul ! A soupçonner que son agent le conseille de ne pas « s’épuiser » afin de provoquer commentaires et interrogations car comme le serine un adage publicitaire : Qu’importe ce qu’on dit de vous puisque qu’on parle de vous !
Donc en ce match plus serré, Pogba moins frais que prévu, a servi une prestation presque convenable, soulignée d’un but mais encore éloignée de ce qu’attendent de ses services, d’abord ses avants dont Grizi et son alter ego qu’il faut alimenter, car notre Antoine national a besoin d’être pourvu. Il n’est pas le meneur du jeu mais le régule, amorce les percées de et avec Gameiro, comble les espaces, quand il se sent pas au top, comme chez Simeone, vient défendre…
Ses équipiers ont fait le taf surtout en première mi-temps. Le boss Didier avait choisi de la rendre dure aux Bataves afin qu’ils doutent et ne s’installent pas. Il est vrai qu’ils ont des atouts offensifs certains, ce qui lui permît alors, un premier but marqué, d’italianiser le jeu des Tricolores : gérer et procéder en contres, ce qu’ils auraient dû réussir à concrétiser, le côtoyant de peu : tête vendangée de Pogba, passe manquée d’un tif à Giniac, tir raté d’un encore bon Sissoko. Bon travail ramasse-miettes de Matuidi qui cette fois colmata, colla, s’imposa où il fallait.
Restent les latéraux dont Kursawa qui ne fut ni bon attaquant mais piètre défenseur. Ce jeune garçon doit encore se perfectionner et comme Digne se montrer certes attaquant mais pas oublieux des principes défenseurs complémentaires indispensables, côté gauche.
A droite, Sidibé fut plus constant en défense mais en attaque eut des occazes nettes mal négociées, trop timides, pas spontanées. Sagna est meilleur sans être irréprochable en attaque-défense, même si ses centres sont en progrès.
La charnière fut consistante. Koscielny en est le patron, Varane fut meilleur et constant, reste que physiquement notamment sur les muscles des jambes, il doit travailler son assise, car il fut bousculé en situations de défense statique, son point faible.
En novembre, ce sera la Suède qui inverse les pronos, et qu’il faut hors(ou débarrassée ?) de Zlatan, reconsidérer, quant au Luxembourg à ne pas négliger, pas de petites équipes ! mais y essayer de nouveaux latéraux révélés ou non, et actionner des remplaçants dont Cabaye, Corchia, et autres, aussi nombreux, talentueux dit-on, qu’impatients.Rien sur Payet, c pas son poste ! faudra qu’il s’habitue car son entente avec le duo lutin est plus qu’excellente !
Enfin lors des huitièmes et plus si compatibilités, tenir les cadences, non une mi-temps mais comme les cousins germains quatre-vingt dix minutes voire cent vingt, pas comme en finale de l’Euro. Question aussi de préparation physique et disponibilités d’alors…

Candidesenior vous salue toutes et tous, remise ses crampons bleu-blanc-rouge, se tourne, faute de, vers les ligues, toujours en attente de l’anglaise qui ne croulerait pas sous les abonnements espérés, et la Champions league, petit lumignon des poules… manque de pot ? En cet hebdo foot re-vu trop souvent verlainien, si monotone…
Ajoutons que certains chroniqueurs jugent les Hollandais tr faibles ! On ne voit pas les mêmes matches ! Par contre s’extasient sur une grande équipe d’Allemagne certes bonne, complète mais devant une tr faible Tchéquie se laissant dominer… transie de peurs

Réjouissante victoire du Onze tricolore ? Peut-être… la rencontre lundi contre les Bataves sera plus explicite sur le jeu d’équipe français. En progrès en attaque avec le duo des deux lutins madri(purs)lènes : vifs, déplacements calibrés dans la surface qui paient cash, ou déçoivent?
On connaît le foot de Grizi à l’espagnole, pas de circonvolutions inutiles p faire beau mais des passes sèches, rapides cherchant le contre-pied de l’adversaire, être là où on n’est pas attendu ! Ok tout ça mais afin que le groupe tourne bien, durablement, faut alimenter, et là ça ne se bouscule pas. Encore une fois miroite le (trop) médiatique Paul Pogba !
Certes son match fut un peu meilleur mais encore trop d’attente entre l’instant où il reçoit la balle, soit d’un latéral soit d’un des demis, et celle où levant la tête il doit servir, le mot-clé, un de ses avants, ou un joueur de son équipe qui s’est démarqué !
On sent encore ses démangeaisons de tripoter la balle, de montrer qu’il sait être là (son agent ?) le jongleur millionnaire attendu, le sacro-saint Paul est bien présent, oh! spectateurs et téléspectateurs ! Voyez le : chamarré en smoking argenté, chemise à jabots, crampons de gala, tonsures délirantes au vent accompagnées d’un sourire conquérant… quêtant les vivas. Oui mec : qui vivra verra, on te souhaite enfin simple, en équipier !
C’était hier donc un peu moins léché mais reste encore beaucoup à faire entre le charmeur tr média et un simple mais indispensable relais qu’il doit être. Une-deux touches, ou vite une transversale pour prendre à revers les adverses. Quant au bleu de chauffe c Matuidi qui l’endosse, lui cavale, colmate, redresse et le cas échéant, si couverture derrière, tente une incursion, désarçonnant ses vis-à-vis.
Une fois encore des roulettes, sombreros etc, pour les matches sans trop d’enjeu, ou quand le score est assuré. Par contre la talonnade si elle prend de court son adversaire mais attention les yeux et les oreilles : perte de balle signifie contre-attaque souvent tr rapide de l’équipe adverse, et en qualif’ ça ne pardonne pas ! Encore moins de se regarder jouer ! Si on voit ce qu’ allusionner veut dire.
Paul qui n’est pas un saint doit enfin comprendre qu’il doit verticaliser plus. Sinon il se fait chourer le ballon or c tr souvent hyper-risqué car il côtoie souvent la zone où tout « cuir » perdu peut faire scorer les joueurs adverses !
On verra contre la Hollande, équipe plus technique avec aussi des joueurs petits, tr alertes, malins s’il a enfin compris qu’en rencontres qualificatives, on oublie d’être un toréador en habit de lumière, les mouchoirs agités de demoiselle en extase, captant magique les sunlights… Non là manque de… spots revenir vers ceux de l’ombre, pour commuter la lumière celle du contenu avec aussi complétude 1 du résultat !

Ne pas oublier leur entraîneur de l’Atletico un vrai entraîneur des joueurs et du jeu que Nasser « de partir etc » a dans le « collet mateur » en 2017, comme dirait notre concierge slovèno-moldave.

1 Dédié au bobet de l’Equipe Type

Le meilleur d’entre nous, martelait le grand Jacques câliné par Hollande, ce constat ne faisant qu’aggraver la… consistance des autres, a brillamment passé l’oral du jury médiatique : intelligent, posé, rassurant bref avec mention tr bien mais acquis.
A ceci près, qu’il est question de gouverner notre pays, non que pour la France et les Français se croyant seuls au monde, libres de diriger leurs destins économique et social voire financier, alors que alentour les ouragans menacent, que le pouvoir d’achat international se dégrade, que le chômage comme tache sur la nappe mondiale des échanges commerciaux inexorablement s’agrandit, et on s’interrogent gravement et se contemplent, éberlués qu’un homme si bien, si en paix avec lui-même, puisse s’exprimer avec le calme d’un capitaine valeureux qu’en a vu d’autres ? Ah bon ?

Des électeurs Républicains, des sympathisants et des socialos moqueurs ou attendris se révèlent conquis, et à juste titre, on n’a pas dit à raison, seraient pour cette candidature de qualité tr franco-française. C’est à dire tr intérieure, ce qui hélas mille fois, n’est pas le vrai problème sur lequel « le meilleur etc » ne s’appesantît guère, sinon qu’en protestations renouvelées autant que vaines ! Car cette Europe-là Monsieur n’est ce que veulent bien Angela et ses adjoints anglo-saxons, ce que veulent bien des lideurs mondiaux, attablés au plus haut niveau financier. Oui, ceux qui ont dévoré l’Entreprise, aux profits des Marchés, si confidentiels et dont le film « le Loup de Wall Street » ne fait que caricaturer des actions aussi véridiques que dommageables mais que le système, la systémique mondiale ont admis ou toléré, mieux si on ose, permettent !

Comme le bon et sympa Chirac, on offrirait comme un… complément alimentaire rad-soc’ au bon peuple, afin qu’il croie encore qu’une douceur angevine baigne la politique, les rapports internationaux, et que notre pays avec, grâce au calme passera à travers tous les orages. Suffit de garder sa sérénité… Celui des qui font la manche sans la traverser, ceux qui quêtent aux sorties des églises qui restent, où hélas ne se pressent plus que quelques fidèles, à qui on continue de prêcher l’Amour toujours,alors qu’on assassine, spolie, réduit des Orientaux, des travailleurs à demeurer sans logis et pauvres , eux en fin de ce circuit infernal où des milliards se dispersent, en spéculations au millième de seconde. Tandis que chaque minute, des milliers meurent socialement, blessés aussi par la misère, et cette pieuvre financière. Tables de jeux auxquels ne sont conviés que quelques joueurs inattaquables, connus ou cachés.. Alors vous pensez ! Notre bon c vrai, il l’est Juppé, et ses solutions polies, ses onguents pour coureurs de fonds, qui n’en n’ont plus, dire d’une voix posée que ce ne serait finalement et vraiment que… couleurs proposées pour raviver un film de guerre à restaurer… Est-ce suffisant ?
Chances au Bordelais d’adoption, pas encore coiffé duc d »Aquitaine, c encore Chaban, qui le reste. Lui aussi d’Artagnan de complément, truffés de bons sentiments mais dans un monde de voyoucraties, d’injustices renouvelées, devenues… inévitables ? Que voulez que fissent ces mousquetaires qui n’ont que fleuret où s’exigent : pronunciamientos larvés, traités imposés, accords secrets et autres… missiles et fissions qui déjà pointent… leurs ogives ?

Candidesenior vous salue toutes et tous, salut en forme de croix de Lorraine, qui rappelle non la paix mais l’opposition irréductible à des forces occultes mais surtout appelle, un vrai lideur, l’homme de vérité, de caractère, pas seulement de paroles-paroles, qui promettra de botter le cul et de le faire, à la mesure de ses moyens, à ces quelques entités connues, de quelques réputés « intouchables », toujours et encore les mêmes !

On nous rebat les z’oneilles pour ne pas dire d’autre lieu avec ses tribulations politiques dont beaucoup plaisent à l’Amérique profonde, ce personnage, un des notoires forbans de la Finance internationale, a pris d’assaut la percluse forteresse républicaine, l’a investie… avant de l’être afin d’affronter Hillary, du clan des Clinton, (O.K. Corral) jument de retour du jockey-club démocrate, (de santé fragile… seulement ?) qui occupa tous les postes-clés gouvernants de la serrure des States, oh excuses ! Vigies de commandement de ce grand Etat si démocratique où tous peuvent se présenter au suffrage présidentiel suprême, mais transformé en filtres votifs aussi successifs que compliqués, et à la condition expresse sinon indispensable, d’être milliardaire, ou de se faire subventionner par des associations,totalement… désintéressées, cela va de soie comme ses cravates bariolées et criardes tels ses choix politicards.

On donne Hillary vainqueure d’une courte toison, au Grand Prix de l’Arc de Triomphe pas qatari (aux éclats) qui ne manquerait pas, au prétexte de l’aider, d’accabler cette pauvre Europe, en fin de comptes, délaissée pour des profits escomptés Pacifique mais hélas ! menacée encore de ce traître traité dit transatlantique, où la vieille dame européenne a plus à perdre qu’à gagner, ce qu’ont compris nos British, qui ne cessent de gagner du temps de départ market pour profiter des encore avantages de ce Marché, qui pour eux n’avait rien de commun, et ne fut qu’un livre-livre, un bouquin feuilleté souvent pour le profit des honorables mais voraces sujets de sa Gracieuse, hein Philip, Majesté !

Candidesenior vous salue toutes et tous strangers et frenchies, remise son kilt ( bleu-ivoire couleur Défense- rouge coloré pommard) et nous, se souhaite « bien du plaisir », après ces excellentes nouvelles. Heureusement, dorlotés par un automnal soleil épanoui, qui visiblement s’en fout. Pas comme nos porte-monnaies arasés, où ce pauvre euro lentement s’étiole, fautes d’une pauvre gouvernance pauvre, aux concessions trop unilatérales. Que se consentaient jusqu’alors cette Union qui n’en a plus que le nom, et attend, ce credo des anciens, de nouvelles présidences fortes, libres, éclairées pour la tirer de somnolences, lourdes de conséquences !

Evoquant finement (hum !) le piston, la trompette Trump, justement trompettons, claironnons lorsqu’en Formule 1, les engins de marque Red Bull triomphent, ce qui fut le fait hier, les Médias oubliant régulièrement, est-ce un oubli, ou les pressions d’un concurrent omniprésent, de préciser que ces bolides sont équipés d’un moteur RENAULT !

Ces colonnes qui n’en furent jamais Cinq n’ont cessé de clamer leur horreur du vide, une de leurs angoisses demeurant surtout et entre autres cette Usine du Monde, créée avec l’assentiment à caractère bénéfique de nos indéfectibles Alliés, un réel minotaure multipliant ses emprises sur la fabrication, la fournitures de biens dits de consommation les plus divers, rachetant à prix d’or des procédés et secrets industriels. Et donc de grandes sociétés étouffées par cet sorte de dumping éradiquant, produit d’un capitalisme, en pays communisant, sauvage mais libre ! Certes nature et effets subis le plus légalement du monde par une planète aveuglée et soumise, ses concurrents actifs ou potentiels rejetés à la remorque, et ouvrant par ses succès jusqu’alors incontestables, de pharaoniques …lignes de Crédits jusqu’à 25000 milliards de  dollars de dettes, logiquement remboursables (?) Accumulées officiellement…

Ce que savaient tous les organismes financiers responsables planétaires donc habilités à intervenir car évidemment, on spéculait sur ces centaines de millions, ce milliard d’acheteurs potentiels, donc il ne fut de cesse de les alerter, comme d’autres avertis plus rares, des risques gravissimes pris. Puisque pour des raisons politiques évidentes, la gouvernance de cet immense pays maintenait semble-t-il, ses énormes provinces potentiellement acheteuses, loin des hyperspots publicitaires de vitrines tentatrices, alors qu’aux mêmes instants notre reste du monde, autre acheteur potentiel, se voyait frappé par des Crises dues à une multi-concurrence effrénée, de tous les pays producteurs de biens de consommation, pervertie gravement par les conditions économico-sociales biaisées, injustes, affichées et pratiquées aussi par des pays dits émergents… Sans oublier, des dépenses de fonctionnement de trop d’Etats, indécentes économiquement.

Comme déjà ressassé, il était prévisible que perclus de chômages en augmentation constante, les divers acheteurs de biens divers allaient d’abord ralentir leurs emplettes, malgré une Publicité omniprésente, des facilités de paiements diverses voire « illimitées », des intérêts surbaissés, quasiment nuls ! Répondant à la formule populaire, on ne peut tondre un oeuf, malgré ces séductions multiples, les achats comme moults fois dit, périclitèrent … et s’affaissent.

Alors pensez bon peuple et ses communautés quelquefois conquérantes, les, la Primaire actuelle ? Pauvre petite diversion offerte !
Euh pauvre… Pas tellement puisque plus que jamais, le choix d’une femme (peu probable) ou d’un homme sera primordial. Plus que les atouts, les diplômes, les réseaux, les médias à tentations si dirigistes c le caractère, l’implication de tous les instants, l’hypervolonté politique inébranlable, la conviction  nourrie des valeurs propres à son pays, le caractère allié à l’expérience internationale prouvée des situations de Crise seront, devraient être  toutes décisives.

Plus que les plus beaux discours : exigences d’actes justes, fondateurs nouveaux. Au niveau européen, l’Union enfin ravivée par le noyau dur fondateur, une Banque centrale plus solidaire qui ne soit plus sous la coupe intransigeante d’anglo-saxons rigoristes, des décisions financières apurant certains comptes commerciaux, financiers,la fin de l’allégeance à des organismes financiers et commerciaux directeurs ou arbitres, aux décisions trop souvent unilatérales. La nouvelle affaire Airbus-Boeing sur de prétendues subventions euro-européennes et…l’aide sous formes différées de l’US Air Force à ses amis de Boeing ne fait qu’apporter…crédit à cet interventionnisme biaisé mais constant ou …partagé. Chacun à sa façon a accompagné son pôle avionneur à remporter des commandes, ok ! Alors le troupeau occidental serait mieux gardé, sinon que « l’arbitrage » reste encore orienté dans la même direction atlantique !
La fin enfin de ce « traité » encore transatlantique, presque imposé, aux exigences exorbitantes de multinationales plus fortes que les Etats, quant aux prétendues créations d’emplois : paroles-paroles-paroles! Qu’importe si la musique se veut charmeuse ! Avec ces refrains transatlantiques d’un centrisme aveugle ou borgne, exaspérant De Gaulle ! qui continue d’altérer les, la Droite française !
Il est des moments graves où l’on se sent l’âme, la hargne, la volonté irrépressible d’un Irlandais de jadis déchiré, mais obsédé par cette chère Indépendance. Qu’elle qu’en soit le prix à payer !
Aussi partagées, exigées, importantes des unités de changes et des monnaies plus équilibrée. Enfin devant cette situation du… surendettement de la Chine, un étagement de ses dettes surchargeant le Crédit mondial, et des solutions rapides, pratiques associées, évitant ce qui fut trop souvent l’arme ultime de gouvernants : la  Guerre ! qui ne pourrait être que conventionnelle.

Candidesenior minuscule, infinitésimale cellule humaine ne sait vraiment comment techniquement, politiquement endiguer ce vertigineux  crédit, en plus USA en période électorale décisive, sinon que partout les ouvriers, employés, cadres, chercheurs, retraités, chômeurs continuent d’être payés, indemnisés et… imposés raisonnablement, les entrepreneurs et financiers de tous acabits ramenés au niveau profits aux réalités du moment. Et nos lointains voisins, jusqu’alors de l’Empire céleste, qu’ils irriguent vraiment tous leurs tr nombreux peuples et régions, en réduisant d’urgence aux réalités économiques actuelles, cette gigantesque Usine in the world. Enfin et rapidement que soit refondé un Marché unique des divers Marchés : matières premières etc revenu à un niveau permis par le vrai réel pouvoir acheteur du Monde planétaire. Déjà plus qu’éprouvé par des environnements dont l’Afrique et ses Océans fondateurs salis, pollués et qu’il serait sage de rénover durablement, sources de travaux mondialement associés !

NB.- Débat sur LCI, ô primaire vraiment, entre différents candidats Républicains, et crac boum hue ! c reparti ! Ils vont réjouir le rejeté Hollande, qui n’attend que ça ! Rien de plus dangereux, nuisibles que ces porte-parole frétillant mais policés de Fillon, Copé, Le Maire, disons dans l’instant, valeureux mais « seconds couteaux » souvent dépassant largement, faut se montrer, les antagonismes formels supposés, sinon attendus, de leurs patrons politiques respectifs !
La culture du buzz télé contradictoire ne couronnera pas forcément le futur boss présidentiel !

Aperçus en déjà en… avant-première électorale, une émission dite de variétés orientée, et son invité, membre de la famille Debré, manifestant son antisarkozysme, ce qui est son droit. Pas son devoir public de fils de Premier ministre du Général… Son opinion grossièrement concrétisée : juppéiste ? Basta ! il n’est plus rien, qu’un anti de plus, et retraité. Comme beaucoup, simple numéro de Sécu.

On nous… on vous inscrit dans le courant ruisselet de cette sotte primaire, centristement vaine, dans des discours et harangues dont celui communal, vibrant et ses échappées en forme d’églogue de Bruno Le Maire, qui fut un excellent ministre agricole. Constatant, distillant et s’essayant aux oraisons rassembleuses de Chirac pour gagner le Pouvoir. Puis  ensuite… ne devenant que formules touchantes vidées de toutes évidences concrétisables. A  ses sains élans patriotiques, à d’heureuses formules d’intentions bienveillantes pour ses électeurs volontaires, d’autres en mission… arrive cette Primaire, gens venus de tous bords shakerisés avec les vrais militants. Propos valeureux, dont acte, de quadra souvent justifiables,  y répond alors  l’écho financier, qui semble se perdre dans les gorges de Roncevaux mais subsiste et résonne : l’argent-l’argent. Ensuite faut tirer seul l’épée contre des impérialismes divers garrottant dont celui des moyens, qui avancent masqués et brutalement, burka de circonstances, se dévoilent pour mieux dévitaliser tous ces nobles propos auxquels volontiers on pourrait souscrire… D’autant qu’ils, nous ici, les formulons depuis longtemps,  qui supposent, exigent un homme, une femme au courage politique hors du commun. Surtout qui déjà a montré, l’a prouvé au plus haut niveau européen, où bien des décisions continuent de se prendre sans France, qu’il en a démontré constant les qualités, même planétaires dont celles décriées par le sacro-saint, puissant  et vigilant establishment, l’Enarchie, les maîtres penseurs et leurs chevaux Bouglione dressés à tourner sans cesse sur la piste des inconséquences, et autres philo-penseurs, violoncelles criards, n’empruntant que les partitions filigranées médias, et ses publicitaires si désintéressés ! Sans oublier ces haut-fonctionnaires dévoués, qui plus que les élus, les ministres gouvernent notre France depuis des lustres aux ampoules jaunies réputées inchangeables.

Tout ce beau monde se ligue, haut-parleurs médiatiques déchaînés, contre tout homme qui ne veut que le bien pour son pays, non à leurs façons mais à la sienne. Le Grand Charles en fît l’amère mais exaltante expérience, seul ou presque contre tous durant des années. Faut c indispensable un sacré caractère et un tempérament infatigable. Surtout chez nous où se croisent, ferraillent césars et vercingétorix, bonapartes et louis-philippards d’opérettes alors que ce merveilleux pays regorge de richesses aussi morales inexploitées, gisant oublié, négligées parce que des quarterons de notables se trouvaient gênés, leurs intérêts menacés par telle initiative déterminante pour un environnement revisité, rajeuni  mais non créé pour de déjà nantis !

Très peu de candidats répondent à ces critères déterminant, alors on s’efforce de noyer un poisson trop connu, par l’afflux de concurrents ou de règles électorales imposées dont cet urticaire démocratique, qui fait voter des analpha(-pas-bêtes du tout) mais laissés-pour-compte forcés d’une société du tiers-étatisme, et ses écoles bondées, débordées, avec ses qqes dangereux ados… politisés religieusement, des abandonnés du connaître plus que du savoir. Et pour lesquels il faut le redire, les contraintes sanglantes, sacrificielles et inutiles du djihadisme ne pourraient que continuer à les laisser hors du cercle rétrécit des instruits… républicains. Dans le même esprit, suspension ponctuelle de l’Etat de droit, belle formule à la française mais en ces instants danger qu’une formule, pour embastiller les individus fichés du Terrorisme, et nos Services le savent le disent, prêts à agir !

Candidesenior n’a cessé et ne cessera de laisser ses lectrices et lecteurs réfléchir seuls, sans tuteurs sur une consultation, ses improvisés sauveurs de la Nation mais laissera sur la table du choix en évidence un… shako 1, coiffe à visière qui décore plus qu’elle ne coiffe cet homme-né lui avec les clés pour la situation serrures d’une France désargentée. Avec trop d’hommes, de femmes qui ne sont, même si c déjà valorisant, que de bonne volonté alors qu’il faut bien plus que ça! Pas que des Droits les plus divers brandis, les plus planétaires  mais également beaucoup de têtes de gondole politiques, comme on dit, l’oublient ! Evidemment les Devoirs à assumer, à respecter. Qu’elles que soient les réactions tous azimuts, de minorités agissantes -bien sûr hors opposition politique – qui pèsent chez nous depuis tr longtemps. De l’Identitaire bien  géré, bien tempéré, de l’Ordre dont le respect intégral de nos coutumes par tous nos compatriotes dont nos invités permanents au partage, même s’ils le sont depuis bien longtemps !

Les cris d’orfraie attendus n’ont jamais occulté des réalités qu’il faut résoudre, sous peine de ne plus exister chez soi, en Europe, dans ce Monde qui lentement s’éteint, faute de Lumières ravivées. Ou sous l’abat-jour de dominants occultes, depuis trop de temps déjà !

1 désolés… manque un r ! Le problème est : un total, un serial puncheur aura-t-il l’art de l’esquive ?

Reprenant les affaires laissées bien malgré lui par Lolo, Inaï amène une sorte de frénésie à exiger de tous ses joueurs, leur meilleur, d’abord aux entraînements devenus hautement sélectifs et qui ensuite font l’équipe challenge, écrémée de joueurs… moins concernés, trop enveloppés, pas assez défensifs. Tous observés à la loupe basque, obstinée, voire entêtée, et qui restera  vigie inflexible sur ses critères de constructions sevillans : de la moelle, de l’engagement mais  tout le temps d’un match, et autres pôles d’intérêts dont le choix des joueurs or Hatem n’en fut pas, raison supplémentaire pour conquérir le manager ! Hélas à l’antipode  du moral d’un joueur fragile, si entouré, si protégé la saison passée !

Pour notre Championnat c OK, pour la Champion league à revoir car Caen atomisée fut médiocre, et Cavani ne pouvait décemment vendanger des occazes simplettes, qu’un avant butteur digne de ce nom  n’aurait pu encore rater.

Cela posé, on ne sait encore quelles sont leurs vraies forces premières défensives. Silva rentre bientôt, Aurier inépuisable  revient. Ce bloc avec Areola, plus certain que son cousin germain, semble compact, même si Meunier bon centreur-passeur ne l’est pas défensivement. Le joyau du specialteam reste la ligne centrale et son rubis Verratti. Elle n’a que le bon Polonais Krichkowiak comme demi à tout faire, allié à Matuidi en esssuie-glace-puncheur pour permettre de fournir du jeu car l’ancien Motta, vraiment en fin de courses, joue trop lentement, et n’est plus l’alter ego de l’indispensable petit Transalpin, qui s’est remis attention ! à discuter, rouspéter, sans avoir de remplaçant de son rang car la pubal gît et peut revenir ! De jeunes pousses se manifestent, d’autres habitués nous promettent depuis deux-trois années sans toutefois persister, et cette équipe dont se demande où est, que fait Jesé ?  lui exigé par notre Basque gesticulant alors qu’hier ses compagnons de crampons s’efforçaient, s’exténuèrent  de le faire scorer.

Disons du pétulant Emery que comme certains des joueurs auscultés par ses professionnelles méticulosités,  pour tous les observateurs et consultants, il  reste en observation aussi vigilante qu’attentionnée comme le Président Nasser, lié à ce manager imposé par lui. Et le Directeur du foot ? Foutaise batave, sympa ex-grand joueur, et alors ?

Candidesenior vous salue toutes et tous bien, crampons changés c l’automne, l’été indien paraît avoir démonté ses rayons-sun rangés en estivale arrière-boutique, et nous refile des brumes soldées de canicule passée. Bof on fera avec ! Comme Mourinho, the special… United avec Pogba !

On suit ce cocktail de panoplie télé de cette Equipe Type, niche à rigolos et auteurs du jeu : masquer un vocabulaire aussi pauvre que le jeu de notre foot pro, via une sanction outrecuidante,  sorte de jeux de cuistres sanctionnant les mots dits « difficiles » (tel un paradigme… perdu),  de notre langue, jusqu’alors française ? Suivie comme son ombre normale, par celle du Soir, qqfois un poil, Bignols Bands + que commentaires illustrés mais attention policés par un meneur style gendre-idéal faisant dans l’empathie paternaliste,  qui adepte des bonnes manières a celles d’un instit’ à la retraite, brandissant en guise de férule un carton jaune scolaire vers quelques as…beens (mélange gros rouge Erik et calcif à dentelles), de l’article sportif, un des plus difficiles à édifier, eux plus à louer qu’à vendre, qui se piquent (ce qui vaut mieux que sniffer), de connaître du bout du crampon, ce jeu planétaire  no Un qui passionne tant, déçoit souvent mais comme une vieille maîtresse…. de  nos habitudes sait nous retenir pour mieux nous harceler. Comme le match d’un Barça, vampirisant les recrutements, modèle hénaurme et guardalien, ses cascades de passes redoublées, son  pressing dévoreur, pirouettes et tirs d’un sublime et corrosif Messi… sorti d’un talmud footballistique, face à la mandoline catalane, un Atletico madrilène mai pas coton voire argentinesque, déployant ses paralysantes tentacules (non c pas une histoire de…) déroulant ses évolutions solidaires défensivo-contrantes, un jeu bloc soudé, épuisante épuisette, qui se veut stratégique, puis  l’utilisation finale, comme en bien d’autres sports, d’un spécial Contre… le Grizi, l’envers de la médaille du vénéré chouette foot. Celui qui transcende, fait se dresser des paralytiques, hurler sans fin des reporteurs apoplectiques s’époumonnant. Et malgré tout rend,  enfin rendaient, nos cousins italiens d’avant et les germains depuis, et jusqu’alors vainqueurs inéluctablement ! Un rédac’ chef, lui méprisant ce bunker-foot, rouspétant, pratiquant un discret bon sens, oui le chef Chaudard devenu, secouant ce shaker Défense encore, rappelant l’envie, l’amour du jeu chatoyant, jolie dame aux contours ensorcelants : feintes du corps et du regard, balles caressées, essuyées presque, passes talonnées, ou longitudinales de trente-quarante mètres arrivant pile sur le cou du pied d’un forban butteur, pour mieux éclater les mailles d’un filet qui croyant cueillir un papillon, encaisse du plomb, enfin cet insane rondeur plastique. Et pourtant : But, goal, gooool  est hurlé, même la Pub reine nous le restitue !

Donc en ces décors rouge-noir-blanc défilant un Mémé, un Olivier ses feuilles sur le front officie,  et malheur… non meilleur en barbu, les soirs suivant le diront, même si quelquefois les chiffres-sondages berlurent !

Ordoncques on va disséquer, discuter une passe, certaines acrobaties inutiles pour faire chic, condamner un onze à vingt trois en quenouille, un Président baratineur, un coache starisé, un agent de joueur confondant « bétail » et techniciens aux licences voire maîtrises, diplômes de l’Université du terrain, bref discutant, se coupant, à celui qui chevauchera l’autre… pour faire oublier ParisTurf ? Chacune chacun avec ses favos et bêtes noires, euh ! n’alertez pas la Licra !  après disputes, chamailleries sous le regard acéré, moqueur de la divine Alexandra et ses consoeurs, pas de charité, croyez le. Oyez bon peuple durant ce temps du temps imparti, des fidèles, virtuoses du sms souvent ne recopiant ce qu’ils ont entendu, condamnent, s’étonnent, donc table ronde sans chevaliers sauf de la cantine… Et alors ? nada, niente, nein, no etc quedalle ou presque, se nouent, s’imbriquent, surprise sans pochette, des jeux c normal ! pour les, leurs téléspectateurs qui vont figurer, s’en réjouir…

Que nenni, ces jeux plutôt primaires, sont là pour réjouir, s’amuser, se congratuler, participer … qui ? Ben : les journaleux et consultants présents! On les fait s’affronter et s’acclamer, se plaisanter : bravissimo mais ces joutes fabriquées ne semblent pas, non franchement pas, amuser tous les abonnés, ceux qui font vivre, exister mais ceux qui devraient les intéresser, les garder attentifs, mieux les fidéliser, eux qui se consument ne pas être vus par leur concierge en ce petit écran devenu bien trop grand, pour la foule des autres, semble-t-il.

Souvenirs souvenirs : un tr grand journal connu jadis qqes uns de ces épisodes, comment dire ludiques ! On enjolivaient les pages pendant que le lecteur attendait plus d’infos, de commentaires alors que ces enjolivures le laissaient de marbre, pouvait-on dire, et les abonnés insensiblement désertèrent ce paquebot et nouveau Titanic, frappé par l’iceberg des fausses bonnes idées, disparaissant lentement mais corps et biens !

Le mieux est quelquefois l’ennemi du bien certes le souhait de tous, en ces temps économiquement impitoyables, est la réussite pleine et entière de cette mouture et de ses auteurs, sans oublier que l’abonné qui fait vivre tout ce petit monde vite se lasse, et que son intérêt gage de sa fidèle présence doit être la primauté sur le syndrome  tendance, la boboterie et cet « oubli » trop souvent de celui qui paie pour être étonné voire convié au partage !

Candidesenior vous salue toutes et tous cordialement, protège-tibias bien ajustés, et ne fait qu’exprimer des sentiments qui ne sont que ceux d’un moment, puisque l’exposition publique suppose critiques souhaitables mais désintéressées et que l’enthousiasme créatif ne saurait masquer les inévitables imperfections mais agréments de la novation. Se faire plaisir soit, sans délaisser ceux qui sont la survie professionnelle.

NB.- Incriminer Canal Moins dans cette affaire des Droits télé du foot anglais ok mais ne pas oublier Bein Sports, lesquels ont, avaient les moyens sauf erreur de surenchérir mais en cette compète financière ça finit par exhaler une odeur d’entourloupes, sans laquelle dit-on, y aurait pas de bonnes affaires…

Classement des consultants sur le mois précédent:

Paul Leguen 8

Reynald Pedros 8

Yoan Micoud 7 demi

Marc Libra 7  demi

Luis Fernandez inclassable car showman surtout

NBis.- La Fête à Rico de la Plata ?

Hier cantine un peu trop arrosée ? L’enthousiaste Eric, qui lui ex-grand joueur de rugby du Racing, reconverti au Foot et surtout au Barça son idole, comme d’habitude exposait son avis technique circonstancié sur les matches de ce Championnat d’Europe dont la victoire contrastée de Lyon surtout, et Monaco. Cette fois, les journalistes présents accueillaient les jugements abrupts de Rico avec des sourires, si on ose dire entendus, des clins de yeux moqueurs, tous complices,  des remarques charieuses souvent frappées du mauvais sens : On t’aime bien mon Rico mais eh ! c pas ton boulot mais notre taf, alors parle toujours… Et à la moindre erreur, l’un rectifiait goguenard, l’autre soulignait une approximation. Bref la moquerie sur plateau semblait petite orchidée défraîchie fleurir à la boutonnière de certains, si sûrs de leur savoir… Bien sûr Mémé présidait avec l’impassibilité du meneur, genre père de famille laissant les gosses se taquiner gouvernait ce jeu tr organisé, Micoud, le vrai professionnel, lui sur la retenue, Rico continuant son bavardage, sans y voir la moindre malice… Oui la cantine avait dû laisser des traces, sinon que le message semblait clair : laissons aux pros de l’Info, aux experts,  émettre leurs avis de pros avertis, qui comme tous savent en valent deux, les amateurs peuvent donner les leurs mais le nôtre reste celui qui compte ! Fermez le blanc ou le rouge !

Candidesenior précise s’il était besoin, qu’il n’a aucune sorte de lien avec quiconque des acteurs de la hier petite pantalonnade publique, qu’il ne connaît que télévisuellement les protagonistes de cette émission, comme d’autres, du même… tonneau.

P